Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 1.djvu/210

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passer d’un ton à un autre, voilà, ma chère Émilie, ce que je trouve dans la conversation du Marquis, et j’ai passé des heures délicieuses avec lui, sur-tout lorsque vous étiez en tiers : mon cœur et mon esprit alors n’avaient plus rien à désirer. Adieu, mon Émilie ; je vous embrasse bien tendrement.

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