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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 1.djvu/258

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en amitié. Enfin lorsqu’elle viendra ici, je l’engagerai à loger chez ma mère qui, depuis votre lettre, m’a témoigné beaucoup d’empressement pour la voir. Adieu, ma chère Comtesse.

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