Aller au contenu

Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 1.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

il fut décidé unanimement dans cette auguste assemblée qu’il fallait faire grande attention à ce qu’il ne fût employé que des cheveux d’hommes et de femmes de qualité. Nous nous regardâmes tous en riant, et il n’y eut pas un de nous qui ne songeât en cet instant à votre bon oncle. Pardonnez-moi cette plaisanterie, ma chère Victorine, je rends d’ailleurs toute justice à ses excellentes qualités. Adieu, adieu, écrivez-moi et faites mieux, venez. Je vous embrasse mille fois.

Séparateur