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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/117

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LETTRE XLVIII.

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Melle Émilie
à
la Cesse de Loewenstein.


Ce qui est fait est fait, ma chère Comtesse, vous savez que je n’aime point à rabâcher, ainsi vous ne serez point grondée ; je ne gronderais pas même le Marquis, si j’étais en droit de le faire ; car enfin il a commencé par vous obéir, et l’argument qu’il a employé était assez spécieux ; mais je conçois sa joie, il croit avoir obtenu de vous ce portrait, et il croit bien aussi, être pour quelque chose dans les larmes que vous avez