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LETTRE LIV.
la Duchesse de Montjustin
à la
Cesse de Loewenstein.
à la
Cesse de Loewenstein.
Je n’ai rien à vous refuser, Madame,
et je vais vous faire part de mon sentiment
sur ce roman de Clarisse, dont
le Marquis vous a fait tant d’éloges.
Il ne m’appartient pas certainement,
de me faire juge d’un génie aussi
étonnant que Richardson ; mais je
vous dirai ingénuement ce que j’ai
éprouvé, et l’impression qui m’est restée
dans l’esprit. Je me souviens
que lorsque j’eus commencé la première
lecture de cet ouvrage, il y a