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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/218

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que vos sentimens, dont vous serez toujours maîtresse de modérer la vivacité, ou du moins l’expression. Une inaltérable vertu d’un côté, et de l’autre un manque absolu d’espoir, arrangent donc les choses de façon que nous vivrons un jour sans trouble, et sans crainte des autres et de nous, dans une charmante et paisible société. Adieu, ma chère amie ; voilà mes vœux et mon espoir.

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