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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/295

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LETTRE LXXV.

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le Président de Longueil
au
Marquis de St. Alban.


Permettez, mon cher et jeune ami, que pour cette fois je ne défère pas à votre désir, et à celui de votre société. Je n’entreprendrai certainement pas d’écrire l’histoire de l’incroyable révolution de la France[1] : c’est une tâche que je laisse à des

  1. Le Marquis avait sans doute proposé au Président de s’occuper d’écrire l’histoire de la Révolution.