Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/171

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des hommes qu’ils peuvent être dangereux ; mais le Marquis est trop honnête pour qu’on puisse avoir cette crainte avec lui. Adieu, madame la Duchesse, cette lettre ne vous apprendra rien peut-être, et si cela est, son effet n’en sera que plus décisif, parce que vous verrez que les choses que vous a fait prévoir votre pénétration, frappent à présent les yeux des autres, et qu’il est instant d’y apporter remède. Je vous recommande les intérêts de notre adorable amie, et vous assure d’une reconnoissance qui égalera, c’est tout dire, mon tendre attachement.

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