Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/247

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ami, et je vous conjure de vous en occuper promptement. Adieu, Monsieur, c’est toujours pour moi un grand plaisir que de vous renouveler l’assurance de mon tendre, ancien et éternel attachement.


Fin du tome troisième.