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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/51

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cette heureuse réunion de personnes qui me seront éternellement chères. Adieu, adieu, ma cousine, ce n’est pas dans les rians sentiers de l’espérance que mon imagination s’égare le plus souvent, et je veux vous faire grâce de mes sombres idées.

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