Aller au contenu

Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/62

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

bien d’en faire part au Marquis et à la Duchesse ; mais peut-être ils connaissaient le vicomte de Vassy, c’est un motif, ma chère Victorine, d’user de ménagemens en leur apprenant cette nouvelle. Adieu, je ne veux pas m’étendre sur le triste sujet de cette lettre, elle ne fera que trop d’impression sur vous, sans que j’y joigne mes sombres idées. Malheureuse Vicomtesse ! quelle horrible nouvelle ! et combien peu il lui reste d’espoir. Adieu, adieu, ma tendre amie.

Séparateur