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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/75

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suis tentée d’après un tel écrit, de ne croire à aucune mauvaise réputation. Dans peu, comme elle le dit, tout lui sera bien indifférent ; son état empire à chaque instant, et je crains en me réveillant d’apprendre qu’elle n’est plus. Adieu, ma chère Victorine.

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