Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/126

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de croire, qu’ils lui laisseront encore une plus grande liberté, celle d’épouser un homme qui ferait de son goût, un Émigré même, s’il avait su leur plaire et s’en faire estimer. C’est assez vous en dire, et voilà je crois, mon cousin, de toutes mes lettres celle qui vous aura fait le plus de plaisir. Adieu, mandez-moi la réception du Prince, et comptez à jamais sur la tendre amitié de votre cousine.

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