354 TABLE GÉNÉRALE DES SOURCES
T .r:ie N.e ~o.e C :r
partir de « « Nous avons fait
aujourd’hui nos stations »
(p. 488). Le mscr. n’a pas les
mots « ce n’étoit pas lui, En-
fin » (p. 488, i4» ligne)-
246 Mscr. Grosbois, p. 34g, moins le f 1725, p. 21. f Rouen (1726), Ier alinéa et les mots « elle est I, 273. t La Haye (1726),
dans une cage » (p. 493, der- I, 233. Perrin f (1734) II,
nière ligne). Aa lieu de « la 37 t Uj^i) H, 93.
désolation qui fut dans sa cham-
bre » (p. 490, 12e ligne), on
lit dans le mscr. « la désola-
tion de sa chambre. »
247 Mscr. Grosbois, p. 475, le Ier ail- f La Haye (1726), II, 216. nea; la fin du 20, à partir de Perrin (1734)11, 4°> t (l7^i)
« n ne veut pas aller brusque- II, 97.
ment» (p. 4g5); et le 3e (p. 496:
«Lemarquis deVilleroï, etc.»).
A la l" ligne de la lettre, dans
le mscr., il y a larmes, au lieu
d’alarmes.
248 Mscr. Grosbois, p. 353. Le vers f 1725, p. 24. f Rouen (1726), de Corneille (p. 5oi) commencé I, 277. La Haye (1726),
ainsi dans le mser. J, 236. Perrin f (1734) II,
On parle de l’eau, de Tibre. 4? t i^A) U, 104.
252 Perrin, (1754) II, 120.
a55 Mscr. Grosbois, p. 377, moins f Rouen {1726), I, 283. La les mots: « tout aimable, toute Haye {1726), I, 243. Per-
brillante » (p. 52Oet52i),et le rin f (1734) II, 71; f (1754)
membrede phrase « j*aimerois II, l3l.
mieux m’ètre rompu les deux
bras (p. 522, 6° ligne). Au
lieu de l’alinéa qui commence
par: «D’IIacqueçiîleafaitj etc.»
(p. 524), on lit seulement dans
lemscr. « Me (sic) de Louvigny
a fait tenir les lettres que vous
lui écriviez. Si cet homme à qui
Ripert avoit coutume de don-
ner vos lettres n’étoit point dis-
paru de la rue qu’il habitoit,
on ne se seroit pas servi d’une
autre voie. Au lieu de: « J’es-
time toujours mapetite-enfant »
(p.53i, 14" ligne), ily a ^J’es-
time toujours Pauline. »
a56 1 Perrin, (1754) II, 142.
257 Perrin f (1734) II, Si; {1754) U, 144.
a58 Copie deBussy A, I, i52. t l697> *> 69- l8lS, H, 3g8. 259 | Perrin t (1734) n, 93; f (1754) II, i58.