378 TABLE GÉNÉRALE DES SOURCES
- 1 reconnoissance. » Même page,
3® ligne en remontant, les
mots « je l’aï prise huit
matins, comme ont été sau-
tés. Au lieu de « Ce que
vous dîtes » (p. 482, 5e ligne
en remontant), le copiste a
écrit « Ce que vous disoit, »
ou « ce que vous diroit. » Au 1
lieu de « dans le même
temps » (p. 488, 12e ligne
en remontant), on pourrait
lire « dans le même tour. »
Au lieu de « FonteTrault »
(même page, 7e ligne en re-
montant), il y a « Fron-
tôvaux. »
547 Mscr. Grosbois, p. 946 et p. 949, Perrin f (1734) RI, 33o; f (i7$4) moins les dix dernières lignes IV, ïao.
de la lettre, à partir de
« ma trèsf-chère et trop ai-
mable. » Le copiste a passé
les mots « afin de se porter
comme moi » (p. 485, der-
nière ligne), et les mots et
très-généreux, » qui viennent
après « un acte généreux » j
(p. 487, 9€ ligne). Au lieu
de « le moi de M. de la
Garde » (même page, r3B li-
gne), il a écrit « le mot de
M. de la Garde, »
548 Ibid., p. gBif moins la fin de Perrin (1734) IÏÏ, 337; f {1754) la lettre, à partir de « Je IV, 126.
trouvai cela plaisant » (p. 491,
7e ligne), et moins quatre li-
gnes, commençant à « dans
l’effet court et violent de toutes
les fontaines, » et finissant à
CL vos parfums de Provence »
(à la fin du i« alinéa de la
p. 490). Au lieu de « Je vins
ici samedi » (ire ligne de la
lettre), le copiste a écrit a Je
viens ici samedi; » et au lieu
de « je n’en ai vu en nulle
autre province (p. 490, 7e li-
gne en remontant), il a écrit
« je n’en ai vu en mille autre
proTÎnce. »
549 XUdtt p. 955, moins les deux j Rouen (17^6), II, art. f La premiers alinéa, et la moi- Haye (1726), Il, 128. Per-
tié du 3e, jusqu’à « la prin- rin t (1734) III, 34i j (1754)
J cesse étoit partie dès la pointe IV, 13o.
| du jour » (p. 493, 10’ ligne; [