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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/105

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 99

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marquise, puis duchesse de),

belle-sœur de la précédente,

perd sa mère, VIII, 420.

Coistm (Pierre du Cambout de), évêque d’Orléans, puis cardi-

nal, frère du duc, est nommé

chevalier de l’ordre du Saint-

Esprit, VIII, 333.

Coislik (Charles-César de), chevalier de Malte, frère du pré-

cédent, revient de l’armée parce

qu’il est malade, IV, 35. Il

dit qu’il ne veut plus servir

parce que Turenne est mort;

ce discours mécontente le Roi,

IV, 114.

Colbert (Jean-Baptiste), ministre et secrétaire d’Etat, 1,

4jo; II, 495, 498, 506; III,

56, 103, 273, 274, 336, 383,

4o6, 478; IV, 88, 284, 303;

V, 2|4; 43i; VI, log, “<

lôa, 33a. est désigné sous

le nom de Petit, I, 442, 453.

Son acharnement contre

Foucquet, I, 442, 453, 470,

474. 11 va à Chaillot parler

de la part du Roi à lime de la

Vallière, II, 62. Il assiste

au service funèbre célébré à

l’Oratoire pour le chancelier Seguier, III, S9. Le comte

de Grignan se plaint à lui des

évêques de Marseille et de Tou-

lon, III, 32.5-327, 332 et 333.

Mme de Sévigné l’appelle

le Nord, III, 33r. Turenne

est bien avec lui, III, 339.

Sa partialité pour l’évêque de

Marseille, III, 363. II pro-

tégé Penautier, IV, 507.

II est un peu malade; on se

sert de ce prétexte pour ne pas

payer les pensions, V, 3o.

Le comte de Grignan lui écrit,

V, 57 Moyen que Mme de

Coulanges devrait employer

pour arriver jusqu’à lui, V, 58.

.Mme de Sévigné se propose

marquis de), puis duc d’Estrées. Voyez EsTRÉEs(ledned’). Coeuvres (Madeleine de Lyonne; marquise de), première femme du précédent, IV, 402. Allusions à son aventure scandaleuse, II, 3oS, 331. Sa mort, VII, 289, 293, 296.

Coeuvres (le maréchal de). Voyez Esthées (Victor-Marie comte d’).

COEUVRET. Voyez SAGE (le). Coigkei. Il voudrait jaarier le marquis de Grignto à Mlle de Lamoignoti, VIII, 36o et 36 1. CoiGKEtrx (Jacques le), marquis de Plailly, second président du Parlement. Sa mort, VII, 473.

CoiGHÉux (Mme le), Judith-Thérèse-Suzanne de Montault, femme du précédent, VIII, 3 20. Elle est malade, X, 157’ Elle soupe chez Lamoignon Coulanges dit qu’elle était cuite au four, X, 34g, 35g.

Coislih (Armand du Cambout, duc de), petit-fils du chancelier Seguier, IX, 588. Il est chargé par son grand-père mo u- rant de reporter au Roi les sceaux de l’État, II, 481. Il est nommé chevalier de l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 333. Habileté dont il fait preuve ausujet du contrat de mariage de sa fille, VIII, 5i3. Coistro (Madeleine du Halgoët, duchesse de), femme du précédent. Ses rapports d’affaires avec M. de Mauron, VII, 256. Elle assiste à une représentation à’Esther, VIII, 477.

Coisuît (Madeieine-Armande du Cambout de), fille des précédents. Voyez Ekrighemokt (la princesse d’).

COISLIN (Louise-Marie d’Alègre,