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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/117

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNl m

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fort malade, IV, 20, ag. Mme de Sévigné juge qu’il a trop d’esprit pour lui servir de secrétaire,IV, 396. Il trouve que Mme de Sévigné est devenue paresseuse, IV, 41 3, 496. II a mal aux yeux, V, 27. Il donne à Mme de Sévigné des explications sur la grandeur de la lune et sur le goût amer ou doux, V, 36. Sa conversation plaît beaucoup à Mme de Schomberg, V, 41 et 42. Il va voir Mme de Sévigné à Livry, V, 42, 49, 53. Son admiration pour le P. le Bossu, V, 63, 87 et 88. II va à Commerci chez lecardinal deRetz, V, 175, 177 et 178, iq5, aor, 212, 222. Il gronde Mme de Grignan, V, 221 et 222. II fait admirer Virgile à Mme de Sévigné, V, 229. Ses réflexions sur la fatalité, V, 248 et 249. -Son jansénisme, V, 25g. Le Roi, à force de hauts faits, le mettra dans l’impossibilité de le louer, V, 287. U a la fièvre tierce, V, 329, 33i, 348, 357, 368 et 36g, 373. Il engage le marquis de Vardes à marier sa fille avec leduedeRohan, V, 448, 452, 459, 481, 486. Son jugement sur la Princesse de Clives, V, 480 et 481, 485. Il est enrhumé, V, 493, 497. Le cardinal de Retz lui fait une pension de deux cents pistoles, V, 5o6, 5n, 562, 563 et 564. Ce qu’il dit de l’amourpropre ses remarques sur cent maximes de la Rochefoucauld, V, 5o8-5io, 5r2 et 5i3, 525 et 526, 528-530. -Il soutient un procès pour une de ses parentes, V, 532, 536, 542, 543, 544, 546, 552 et 553, 56a;

VI, 544 VII, 64 et 65, 143. Froideurs de Mme de Grignan pour lui, VI, 33, 56 et 5;, 109 et 110. M. et Mme de Rohan se montrent peu généreux pour lui, VI, 65, 97. Il abandonne la lecture du chevalier de Méré, VI, 96 et 97. Écrire le tue, VI, 160. Hébert le bat aux échecs, VI, 172. Il est charmé d’un sermon de Fléchier, VI, 370. Le marquis de Vardes lui fait une pension, VI, 371. Il procure un professeur ’de droit au fils de Pompone, VI, 48g. Son opinion sur le bonheur et sur la joie, VI, 496; VIII, 145 et 146, i58 et i5g. Il écrit contre un passage de la Recherche de la vérité de Malebranche, VI, 5o6. Il fait une promenade à Versailles avec Bussy, VI, 509. II respecte, tout philosophe qu’il est, l’affection de Mme de Sévigné pour sa fille, VII, 7, 38. Il a essayé de marier Mlle de la Trousse avec Charles de Sévigné, VII, 38. Plaisir que lui cause une lettre qu’il reçoit de Mme de Grignan, VII, 64. Il figure par ses lettres dans les discussions philosophiques engagées aux Rochers, VII, 73 et 74. Conseil qu’il donne à Mme de Coligny au sujet de son procès avec la Rivière, VII, i6g et 170. Un excès de vénération l’empêche d’approcher de la sainte table, VII, 181 et 182. II a pris perruque, on ne le reconnaît plus le marquis de Vardes le met à la tête de ses affaires, VII, ig5, 206. Son goût pour le droit et la jurisprudence, VII, 2o6, 25g, 261, 264; VIII,