DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ.
ALÈGRE (Marie de Remond de Modène, marquise d’), femme du précédent, II, 240. Ses regrets du sot mariage que par avarice elle et son mari ont fait faire à leur fils, VI, 67 et 68. Elle pleure une folle équipée de sa belle-fille, VII, 273. Nouvelle de sa mort, VIII, 420.
Alègke (Yves marquis, plus tard maréchal d’), fils des deux .1 précédents. Sot mariage que ses parents lui ont fait faire par avarice; ses regrets, VI, 67 et 68 VII, 270. On voudrait lui cacher une folle équipée de sa femme, VII, 272 et 273. Alègke (Jeanne-Françoise de Garaud, marquise d’), femme du précédent. Son mariage; c’est une dissipatrice, une folle, VI, 67 et 68. Charles de Sévigné avait eu envie de l’épouser, VII, 269 et 270. Elle s’enfuit de chez elle pour aller faire pénitence dans une Thébaïde, oubliant son mari, sa fille, toute sa famille, VII, 271-273.
Alècre (Marie-Marguerite d’). Voyez Suighelai (la marquise de).
Alençoh (la ville d’), IX, xliv-, 201.
Alekac (Françoise Julie de Grignan, dite Mlle d’), seconde fille du comte de Grignan et d’Angélique d’Angennes. Voyez Vibeaye (Françoise-Julie de Grignan, mai- quise de).
Alet (d’), pour DALET. Voyez Coligny (la marquise de).
Aleth (l’évêque d’). Voyez PaVILLON (Nicolas), et Valbelle.
ALEXANDRE LE GRAND, roi de Ma- ï
cédoine, I, 418; III, ia5; V, 384; IX, 5i2et5i3,587.
Alexandre VIII (Pierre Ottoboni, Vénitien, pape sous le nom d’), III, 16; IX, 364.–Nouvelle de son élection; ses excellentes qualités; ses soixantedix-neuf ans., IX, 269-271, 274 et 27.5. Il est ami lutime du due et de la duchesse de Chaulnes et de la marquise de Kerman, IX, 270, 28G, 291 et 292. Le Roi se félicite de son élection, qui déplaît aux Espagnols et aux Allemands, IX, 274 et ayS. Il n’aime pas le cardinal d’Estrfîes, IX, 286. Le comtat d’Avignon lui est rendu, à sa très-grande joie, aussitôt après son exaltation, IX, 285, 295 et 296; le comte de Grignan va remettre le Comtat au légat, IX, 2g5. Mme de Gïignan se plaint que son élection entraîne sa ruine à elle, IX, 288. Mesures que prend Alexandre VIII pour J’affaire des franchises et la paix générale de la chrétienté, IX, 3oi Sa présence d’esprit, sa vivacité, sa bonne constitution, IX, 3o4, 32Ô. Son portrait envoyé à Mme de Sévigné par l’abbé Bigorre, IX, 329. Sa reconnaissance pour la France et pour le due de Chaulnes, qui le paye de retour; il le comble de bontés à la première audience; il envoie un bref à la duchesse, IX, 329 et 33o, 355, 492. Son amitié pour Coulanges, IX, 3 14, 400; il lui dit qu’il faut que sa femme vienne à Rome, IX, 33o. Il veut, dit-on, que le Roi désavoue l’assemblée de 1682, IX, 37i. Il consent à l’union de l’abbaye de SaInt-De-
