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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. t35

221, 2a3. Mme de Sévigné recommande sa philosophie au médecin qui la soigne à Vichy, IV, 474 La Mousse et Corbinelli parlent souvent de lui devant Mme de Sévigné, IV, 522. Les Passions de l’âme; Mme de Sévigné lit ce livre, V, 2g. Allusion au Traité des Sapeurs, V, 36. Les jésuites font défendre aux pères de l’Oratoire d’enseigner sa philosophie, V, 4°,3. Il faut, dit Bussy, qu’il y ait quelque chose contre la foi dans cette philosophie, puisque les jésuites la condamnent, V, 497. Mme de Grignan ne veut pas l’abjurer, et espère la voir un jour triompher, V, Soo. Mme de Grignan,sous ombre de sa philosophie, se moque des régimes et des remèdes communs, V, 538. Sa nièce Catherine, VI, 60. Allusion à son axiome Je pense, donc je suis, VI, 3go- Ses droites simplicités, VI, 448. Mme de Vins apprend sa philosophie, VI, 489. Son opinion sur la chaleur du feu, VI, 499; IX, 22 2. Allusion à ce qu’il a dit de la perfection de Dieu, VI, 5a4. Mme de Sévigné voit à Rennes plusieurs de ses nièces et neveux, entre autres un jésuite, VII, 23 et 24, 54. Discussions aux Rochers sur sa philosophie, VII, y’i et y 4. Allusion à ce qu’il a dit que l’homme est une substance qui pense, VIII, 2a5. Il perd beaucoup à ce que Mme de Grignan n’ait pas le temps de faire usage de toutes les qualités de son esprit, VIII, 43o. On discute sur sa philosophie à un dîner de beaux esprits, particulièrement sur

Davila, auteur des Guerres civiles de France. Mme de Sévi- gné trouve son livre admirable, IX, 353. Il est beau en italien, IX,409.

Davoîtneau (plutôt que Dasokîsteatt, comme il est écrit au tome II), probablement intendant du comte de Grignan, II, 499; IV, 36g, 371^372,374-, V, 440.

Dégel (lé), chiffre désignant peutêtre Mme Scarron. Voyez Maestemok (Mme de).

DfiissE (la ville de), en Flandre, V, 442. Delajs (Hélène), femme de chambre de Mme de Sévigné, mariée à Michel Lasnier, dit Beaulieu. Voyez Hélène.

Demonville, VI, 474-

Djsmosthène, VIII, i5g-i62. Denis (saint), XI, i56.

DENIS, beau-frère d’Adrienne le Couvreur, recommandé par Mme de Simiane à d’Héricourt, XI, 33g.

DESAIRS, maître de danse, III, 365; IX, 33g.

Desbrosses, III, 535.

Descartes (René), II, 375, 376 V, 43, 222; VI, 274, 285, 426, 44i, 468, 487; VII, 64, 108, 254; VIII, 262; IX, 57, 58, 76, 3o8. Sa philosophie opposée à celle d’Aristote, II, 169; IX, 77. Allusions à son système des petits esprits ou petites parties, II, 167, 270 et 271, 345, 378; V, 23o; VIII, 376. Allusions à son opinion sur l’âme des bêtes, II, 345, 543; IX, 6o5. Corbinelli admire sa philosophie, III, 216, 223. Bussy voudrait l’étudier, III, 22r. Vers de Mlle du Pré pour l’ombre de Descartes, envoyés par Bussy à Corbinelli, III,