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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/154

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l48 TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE

IX, 189 et 190, 2i3. Il parle fort bien à l’ouverture de ces états, IX, 279. On lui recommande la députation de Charles de Sévigné, IX, 189 et I9o, ig2j 198. 11 écrit à ce sujet à Mme de Sévigné, ÎA, 20£. II fera son possible pour la réussite de cette affaire, IX, 214, 218, 22.4, 23z, ï39, 242, 321, Charles de Sévigné vient le voir à Rennes, IX 242 24S. Il accueille bien Charles de Sévigné, mais il tient cependant plus il faire sa courqu le servir, IX, â5o. Les Bretons sont très-contents de lui il est en fort bons termes avec Charles de Sévigné, IX, 229 et 260. Celui-ci est son fav ori il le retient auprès de lui il est au désespoir qu’il ne soit pas député, IX, 266, 279, 299. II approuve fort la jeune marquise de Sevigné de retourner auprès de sa belle-mère, IX, 278. Il ne connaît pas la Bretagne sa grande chère; luxe de sa vaisselle sa dépense excessive IX 299 et 300, 3io 3i4. Sa mésintelligence avec Seignelai, IX, i53 321. -Il va quitter la Bretagne pendant deux mois; on dit que c’est pour marier tous ses enfants, IX 45,6, 459. Charles de Sévigné va le voir, IX 546. Il a eu de bonne source des détails sur la mort du maréchal de Schomberg, IX 568. Estkées ( Marie-Marguerite Morin, maréchale d’), femme du précédent, IX, 256; X, 348. Elle n’a jamais voulu louer Mme de Grignan, et ne loue pas non plus Esther; Mme de Coulanges l’attaque à ce sujet; ennui qu’elle en éprouve, "VIII,

pas à une lettre de félicitations qu’il en a reçue; mécontentement de Bussy contre lui, VII, iSi et i52. Mme de Sévigné le blâme, VII, iS3. Mme de Sévigné le décide à répondre à Bussy, et envoie sa lettre à celui-ci, VII, 1S8 et i5g, x6o et 161. Sa réception dans l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 375. On l’envoie à Brest, VIII, 424. H va commander en Bretagne les troupes réglées, VIII, 43o. -Il ne doit s’y mêler que de la mer et des côtes, VIII, 43t -Il estparti, et court comme un homme de vingt-cinq ans, VIII, 444Le roi d’Angleterre, qui se rend en Irlande, doit le trouver à Brest, VIII, 488. Les troupes qui sont près de cette ville reçoivent l’ordre du duc de Chaulnes pour lui obéir, VIII 538. H reçoit, déjà embarqué pour l’Irlande, l’ordre du Roi de rester à Brest, LX 127. On parle du dégoût qu’il doit éprouver IX, i33 et i34. Il est à terre dans une position assez humiliante, IX, 142, i5o et i5j, x53, On mande au duc de Chaulnes, qui va partir pour Rome, de lui laisser, en son absence, le gouvernement de la Bretagne, IX, 161. On pense que Lavardin ne voudrait pas tenir les états sous ses ordres, IX 166. Dégoûts qu’il a eu à essuyer position nouvelle que va lui faire le départ du duc de Chaulnes, IX, 168 et 16g. Son humeur fâcheuse, IX, 169. On croit qu’il n’aura pas la présidence des états, IX, 172, 17g et 180, 186. Le Roi décide, i regret, qu’il tiendra les étas de 1689,