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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. i65

Foix (M. de), probablement Gaston-Jean-Baptiste de Foix et de Candale, due deRendan, fi aîné de la comtesse de Fleix, I, 47oi

Foix ( Henri-François de Foix et de Candale, duc de), frère du précédent, II, 23, 221 VIII, 180. On dit qu’il épousera Mlle de Roquelaure, III, 3o4 et 3o5.

Foix (Henri-Charles abbé de), j frère des précédents. Son ago- nie, sa mort, II, 218, aai. jOn dit faussement que son abbaye de Rebais a été donnée à Bossuet, II, 290 et note 10. Pour leur mère voyez Fixix (la comtesse de).

Fojsîtaike (Jean de la), II, 23o; VII., Si 1. Jugement de Mme de Sévigné sur la troisième par- tie de ses Contes (1671), et j particulièrement éloge des Oies de frère Philippe (livre III,

conte 1) des Rémois (III, m),

da Petit Chien (III xin) II, 109, 207 Mme de Sévigné promet à sa fille de lui envoyer de nouveaux contes de lui, II, Ï2O, 524. Allusion à sa nouvelle de Joconde, I S04 VII, 321. -Allusions à VEimite ( livre II conte xv ) II, 7 l5, 4*8; à Mazet de Lamporeckio (le dernier du livre II), IV, 433 à l’ Anneau d’Hans Carvel ( II xn ) VII, 34 1 a à Comment l’esprit vient aux filles

(IV, 1), VI, po. -Jugement de Mme de Sévigné sur son recueil intitulé Fables nouvelles et autres poésies (1671) et particulièrement éloge du Singe et le Chat (livre IX, fable xvn) du Gland et la Citrouille ( IX iv ) du Élilan et le Rossignol (IX, xvra), qui sont, dit-elle, dignes du premiertome (de 1668), II, rog5, Ig5. Nouveaux éloges donnés aux Fables, sans douté à celles du même recueil, II, 287. Éloge que fait Mme de Sévigné du second recueil, des Fable ([678 et 1679) elle dit qu’elles sont divines, en recommande la lecture à Bussy, et lui demande ce qu’il en pense, V, 552. Bussy promet de les lire, et dit que personne ne sent mieux que lui le mérite de la Fontaine, V, 556 et 557. Fables: allusions et citations l’Aigle et le Hibou (livre V, fable xvin), II, 224; VIII, 448 le Curé et le Mort (VII, xr), ta Laitière et le Pot au lait (VII, x), II, 52O.et53o4; le Lièvre et les Grenouilles ( II xiv),ni, 258; IV, 243 VIII, 269 la Jeune Veuve ( VI, xxt) III, 355 la Cour du lion (VII, vu), III, 408; Philomèle et Progné{m, xv), III, 495 et 496, peut-être VII 34 1 le Coche et la Mouche (VII, îx), IV, 365; V, 187; VI, 122, i5i i5a les Deux Pigeons

1. Les critiques que Mme de Sévigné mêle ici à ses éloges (elle reproche à la Fontaine d’être sorti de son genre) se rapportent sans doute plutôt à quelques-unes des autres poésies jointes au recueil des Fables que la Fontaine venait d’achever d’imprimer presque en même temps que son nouveau recueil des Contes.

2. Mais nous doutons beaucoup que le fragment de lettre où se trouve cette dernière allusion soit de Mme de Sévigné.

3. Sur le reproche que Mme de Sévigné fait à certains endroits du recueil d’être ennuyeux, voyez la première des deux notes qui précèdent, 4. Voyez aussi tome Il, p. 5i4 et note 7.