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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 167

est fort malade et retenue à Maubuisson le prieur fie Cabrières la soigne réflexions de Mme de Sévigné sur sa maladie, VI, 362 et 363, 365 et 366. Elle va revenir à la cour, VI, 38i, 389.– Elle y est revenue, guérie par le prieur de Cabrières on fait entendre que le Roi lui a fait publiquement une visite, VI, 398, 408. Sa maladie recommence, VI, 419, 431. Sa sœur épouse M. de Molac, VI, 43o. Sa faveur, son crédit, VI, 445, 455. Sa maladie gâte tout cela, VI, 461. Établissements de ses sœurs, VI, 493. Tiédeur que le Roi lui témoigne; son peu d’esprit, VI, 497, Sio et Su. On croit son mal sans remède, VI, St. i. EUe s’en va à Chelles en grand équipage; elle est très-malade et affligée, VI, 534 54o. Sa tristesse est toujours extrême, VI, 544Elle a failli être empoisonnée elle est toujours fort languissante, mais très-touchée de la grandeur qui l’environne; comparaison entre elle et Mme de la Vallière, VII, 5ï et 5a. Le Roi ne passe plus que de courts instants chez elle, VII, 71, 87. Allusion à YÉpître que la Fontaine lui a adressée, VII, 87 (?). Elle est retirée dans un couvent pour se préparer au voyage de l’éternité, VII, 142. Nouvelle de sa mort, VII, 162, i64-

Fontenay (Claude de Nocey, seigneur de), un des sous-gouverneurs du duc de Chartres. Nouvelle du mariage de son fils, IX, 482.

Fontes ay (Ar. de Nocey de) firs du précédent. Mme de la Mésangère, fille de Mme de la Sa-

81. Saint-Hérem, qui en avait la capitainerie, y a fait une chute à la classe, X, 198. La cour d’Angleterre y est, et s’y ennuie, malgré les fêtes et les comédies, X, 32o. -On croit que la cour ira y recevoir la future duchesse de Bourgogne, X, 412 et4i3, 422.

FoNTANGES ( Marie-Angélique de Scorraille, duchesse de). On la voit peu elle a donné de magnifiques étrennes à Mme de Montespan, VI, 176 et 177.Sa beauté elle parait être désignée par le nom de la singulière; elle a donné pour six mille pistoles d’étrennes, VI, 184. Elle ne donne rien à Mme de Coulanges, qui l’a tant aidée pour les cadeaux qu’elle a faits à d’autres, VI, 190. Elle est triste de la mort de sa petite fille, VI, 2o5. Elle part en même temps que le Roi, qui va chercher la Dauphine, VI, 283 et 284. Passion et libéralités du Roi pour elle, VI, 289 et 290, 493. Sa prodigalité, VI, 290. Elle paraît à un bal donné à Vil- lers-Cotterets, parée des mains de Mme de Montespan elle n’y brille pas par sa danse, VI, 299. Sa beauté elle manque à l’étiquette dans un bal; cela ne déplaît pas au Roi, V I, 3iy. Elle est faite duchesse, avec vingt mille écus de pension; le Roi va la complimenter publiquement elte doit passer le temps de Pâques à l’abbaye de Maubuisson, que le Roi vient de donner à une de ses sœurs, VI, 347. Sa prospérité est la première chose à laquelle le prince de Marsillac, depuis la mort de son père, ait paru un peu sensible, VI, 348. Elle