DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 169
Il ne sera cardinal que dans cinq ou six ans, III, 465. Allusion à son habitude d’aller solliciter avant le jour, III, 12 et i3, 291, 5a2. On pense qu’il ne sera pas de sitôt cardinal, IV, n5, 184. Le cardinal d’Estrées agit pour lui faire donner le chapeau du cardinal de Retz, IV, 166. Comment on le dépeint dans son rôle d’ambassadeur en Pologne, l’épée à la main, etc., IV, 206. On le croit fort occupé du cardinalat, IV, 248. Pourquoi Mmes de Sévigné et de Grignan seraient bien aises qu’il fût cardinal IV, 538. La mort du pape retardera sa nomination au cardinalat, IV, 557. Mme de Sévigné se moque de l’importance qu’il se donne à propos de la paix de Pologne, et de celle qu’il s’est donnée lors de l’élection de Sobieski comme roi, V, 145 et r46. Allusion à ses exagérations, V, 210. Il est à Paris, V, 327. Il vient voir Mme de Sévigné ses intentions pacifiques, V, 35o et 35r. Bonnes dispositions de Mme de Grignan pour lui, V, 378-, VI, 59. Il se loue de la manière dont il a été reçu par le comte de Grignan il ne veut plus s’occuper que des affaires de son diocèse, V, 397. Il est évêque de Beauvais il va être envoyé en Pologne comme ambassadeur extraordinaire, VI, 817. Allusion aux craintes que ses intrigues causaient jadis à M. et à Mme de Grignan, VII, 26. Le Roi lui promet la première place vacante dans l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 3oo. Il se montre l’ami des Gri-
le chiffre la Grêle, III, 376, 354, 3Sq, 363, 366, 385, 386. Ses démêlés avec le comte de Grignan désolent Pompone, qui se propose d’amener une réconciliation; Mme de Sévigne la souhaite, III, 280, 283 et 284. Sa lutte avec le comte de Grignan au sujet des consuls, III, 286. Le comte de Grignan se plaint de ’l’animosité qu’il a montrée contre lui dans l’affaire de sa gratification de cinq mille livres, III, 326. Habileté desa conduite lors de la nomination d’un syndic, III, 328. Mme de Sévigué rappelle que dans une certaine affaire il n’accorda rien à ses instances, ILI, 329. Le comte de Grignan se plaint de lui à Colbert, mais se montre prêt, par obéissance envers le Roi, à vivre avec lui en bonne intelligence, III 33a et 333 Sa réconciliation avec le comte de Grignan; griefs de Mme de Sévigné contre lui, qu’elle énumère avec indignation à Pompone, III, 862 et 363. Pompone désire qu’il vienne à Paris en même temps que le comte de Grignan et qu’il’y ait entre eux une réconciliation sincère, III, 364. Mme de Sévigné pense qu’il gardera quelque chose sur le cœur, III, 366. Elle l’accuse d’altérer Ja vérité sous des apparences de sincérité, III, 383; puis de parler selon ses vues, sans faire attention ni à la vérité, ni à la vraisemblance, III, 385. Elle raconte ses mauvais procédés envers le comte de Grignan à Arnauld d’Andilly, qui, dit-elle, s’en scandalise, III 38g. On J’attend à Paris, III, 3gg, 4o3.
