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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 201

Pauline est sa favorite, V, a,, 24S. Mme de Sévigné le prie c de défendre Pauline contre la philosophie de Mme de Grignan, et de ne pas la laisser au couvent, si on l’y met, V, aa8, 245. Pauline le met en scène en jouant de petites farces pour amuser sa famille, et le fait beaucoup rire, IX, 4^2 et 453. Pourquoi il n’écrit pas lui-même à Pompone pour lui annoncer le mariage de Pauline, X, 333. Prière de Mme de Sévigné à son gendre en faveur de Pauline, X, 4°8 et 409. • II va revenir auprès de Mme de Simiane (Pauline), qui se réjouit fort de son retour, XI, 24 et 25. Mme de Simiane remercie d’Àrdène de stances qu’il lui a envoyées sur la mort de son père, XI, 26 et 27, Elle parle d’un portrait qu’elle a de son père, XI, 3io. Tendresse qu’elle a conservée pour sa mémoire, XI, 127. Moie de Sévigné ne fera pas de compliment de condoléance à son gendre sur la mort de son petit garçon né avant terme, V, 291.

Sa belle-mère, Mme DE Sévigné S Tendre apostrophe de Mme de Sévigné à son gendre elle le tutoie, II, 238. Comment elle l’aime, II, 414. Elle lui exprime son amitié et son estime, II, 3i4 et 3i5. Elle le remercie du bon accueil qu’elle a reçu de lui en Provence, III, 232. Elle mêle quelques recommandations à l’expression de son amitié; elle a eu l’occasion de parler de ses manières nobles et polies et de ses grandeurs, III, 244. Elle est

manquer le duc de Montausier, VII, 330. Son retour fixera la destinée de Mlle d’AIerac, VII, 335. Naissance de sa fille Marie-Blanche, II, i3-iG. Sa femme lui reproche de ne pas voir Marie-Blanche, V, 443. II annonce à Mme de Sévigné la naissance de son fils, le marquis de Grignan, II, 421 et 422. Inquiétude que lui cause une maladie de son fils, III, 497- C’est grâce à lui que le jeune marquis de Grignan a pu faire sa première campagne au siège de Philisbourg combien il doit s’en applaudir félicitations qu’on lui adresse sur la conduite de ce fils, VIII, 238, 2.58, 264 et 265, 270, 20,0, 3o5, 346 et 347; IX, 34i et 342, 372. Bon accueil qu’en sa consi- dération l’évêque de Chatons et Mme de Noailles ont fait à son fils, VIII, 373. On tiendra compte au fils du mérite du père, comme de celui de l’oncle, et le jeune marquis de Grignan sera sans doute mis à la tête du régiment de son oncle, IX, 3n et 3i2. Son fils, le croyant à Lambese, ne lui a rien dit dans une lettre écrite à Mme de Grignan, IX, 386. II aurait été à Versailles fort utile à son fils, IX, 464. Son fils n’aura pas sa belle taille, IX, 470. Compliments de Mme de Coulanges à l’occasion du mariage du jeune marquis de Grignan, X, ai 8. Le comte de Grignan se porte bien, ce qui a ajouté à l’agrément du mariage de son J fils, X, 227. Fléchier lui écrit une lettre pleine de sympathie l’occasion de la mort de son fils, X, 5oo. et 5 10.

Comte

de Grignan.

Sa belle-mère.