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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 221

que lui envoie Fagon poar son régime, VI, i34 et i35. Il lui est particulièrement recommandé de manger, VI, i34, l6t, i65 et 166. Inquiétudes et recommandations de sa mère pour sa santé elle la supplie d’écrire peu, VI, 137i3g, 140 et i4t, 1S1, 1S9-1B2, 181 et 182, 192 fit r93, 2i5, 226 et 227, 237-289, 253 et a54, 3i3-3i5, 3x6, 334, 357, 871 et 372, 373, 389, 3g5, 440, 457 et 458, 485 et 486 VII, et 2, 17 et 18, 73, 97 et g8, 275 et 276, 3oo-3o2, 3o3-3o5, 33i, 386-388 VIII, 281 et 282, 285, 305, 44-7, 458, 464 et 465 IX, 3 et 3, 7 et 8, 23, 34 et 35. Elle parle elle-même de son mal avec une grande capacité, VI, 174. L’embarras de ses affaires contribue à la rendre malade, VI, 173. DuChesne lui défend le café, VI, i85. Sa colique, VI, 190 et 191. Sa douceur et sa patience lorsqu’elle souffre elle suit le conseil de Fagon de manger davantage, et s en trouve bien, VI, 2o5 et 206. Elle souffre encore, quoiqu’on la ménage et la dorlote beaucoup, VI, 2i5. M. de Gordes dit que l’air de Provence lui est nuisible, VI, 227 et 228. Sa mère lui envoie une consultation du frère Ange, et lui parle longuement de remèdes, de ré- gime, et particulièrement du café, VI, 264-266. Elle se trouve mieux; confiance que lui inspire son médecin, VI, 276, 292. Elle n’est pas encore en état d’envisager son retour à Paris; sa mère combat son intention de passer l’hiver de 1679 à Grignan, VI,

333, Sa mère raconte ses maux au comte de Guitaut, VI, 343 et 344. Elle est mieux ses rougeurs au visage, VI, 406. Elle écrit qu’elle se porte fort bien, VI, 408. Sa mère la gronde de s’être baignée dans une petite rivière, V, 22. Elle a l’intention de se plonger deux fois le jour dans le Rhône, VI, 42g. Sa santé est meilleure, VI, 477. Elle doit souffrir des chaleurs, VI, 5i3. Elle se porte mieux; l’air de Provence, contre toute prévision, lui a été favorable, VI, 5a3 53g et 54o. Ses forces reviennént, VI, 557. Sa santé est toujours mauvaise, et elle ne cherche pas de remèdes à son mal, VII, 34 et 35. Les bains lui ont fait grand bien, VII, 61. Ses jambes froides et mortes causent beaucoup d’inquiétude à sa mère, qui est toujours fort occupée de sa santé et de sa prochaine arrivée, VII, 86, 87 et 88, 89, go. -Sa mère la trouve, à son arrivée à Paris en t68o, mieux portante qu’elfe ne l’avait espéré, VII, i33. Sa santé est toujours bien délicate, VII, i38. Ses inquiétudes exagérées pour son fils nuisent à sa santé, qui est meilleure maintenant, VII, i55. Le séjour de Livry (1681) lui a tait beaucoup de bien, VII, 173. Sa santé n’est pas bonne, 1 VII, 179, 2i5. Elle est bien mieux; son visage rappelle celui qu’elle avait autrefois, VII, 183. On est assez content de sa santé, VII, 196. -Elle a été bien malade, mais elle est guérie, VII, 200. Elle prend les eaux de Sainte-

Comtesse de Grignan.