Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/23

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ.

il"’1"iu un ojCj y llrJJJÏ. yj 4o5. Son désir d’obliger Mme de Sévigné, II, 486. Il accompagne Mlie de Vertus lorsqu’elle vient annoncer à Mme de Longueville la mort de son fils, III, n3et 114. Mme de Sévigné va lui dire adieu avant de partir pour la Provence, 111, 133, ,4l- Mme de Marans s’adresse à lui comme à un druide Adamas, III, 142 et 143. Mme de Sévigné lui raconte les mauvais procédés de l’évalue de Marseille pour son gendre, III 389. Mme de Grignan lit sa traduction de Joseplie; • éloge qu’en fait Mme de Sévigné, IV, i67, 2I2 et il3 219 et 22O, a3i, 25o, 256 3o7, 3ig, 332 et 333; VI, lia. Il avait, lui disait-on, plus d’envie de sauver une âme qui était dans un beau corps qu’une autre, V, 27Il plaçait sa fille, la mère Angélique, au-dessus de tous les autres membres de sa famille, VI, 104. Mme de Sévigné et son fils lisent sa rie des pères des déserts, VII, 324 et 325. Il a traduit le IVe et le VIe livre de lÉaéide X, 508 et 5og.

Arsauld (Antoine), abbé de Chaumes, fils aîné du précédent, V3,3’ In« VI, io5. Il dîne chez Mme de Sévigné, III, 6.5 et chez Mme de la Troche, III, 83. politesses qu’on lui fait, III, 84 et 85. Il va voir passer la procession de Sainte-Geneviève, III, 5 1.8. Il va à l’Opéra avec quelques parents et amis, III, 5a8. Il vient voir Mme de Sévigné, qui refuse de lui laisser le portrait de sa fille pour qu’il le fasse copier,

de), et Valestihois (la duchesse de),

Abmagnacs (les) assistent au repas de noce de Mlle de Louvois, X, 142. Coulanges s’occupe beaucoup d’eux, X, 225.

Abmehtières (Henriette de Conflans, dite Mlle d’), II, 22I. Mme de Sévigné la trouve à Bourbon, VIII, 99, Sa langueur paraît être a son dernier période, VIII, 106.

Armentières (Diane-Gabrielle de Jussac, marquise d’), nommée dame de la duchesse d’Orléans, XI, 32. Mme de Simiane se montre fort touchée des marques de son amitié, XI, 80. Vannât, X, 477 XI, i3o.

Abjsauld d’Andilly (Robert), solitaire de Port-Royal, I, 438 et 439, 442, 449, 456, 458, 467, 473, 48r, 482, 483, 48.5, 493> II, 461 et 462; III, 383, 39o, 391; IV, r47, 223, 337; V, 61, 2Ig; VII, 284. Ce qu’il dit de sa fille Marie-Angélique de Sainte-Thérèse, après qu’elle eut signé le formulaire, I, 445. Sa sainteté; exhortations qu’il adresse à Mme de Sévigné, II, Ii)3. Son recueil des lettres de l’abbé de Saint-Cyran bien qu’en dit Mme de Sévigné, II, 3i6. Sa joie quand Arnauld de Pompone, son fils, est nommé ministre et secrétaire d’État, II, 356. Il veut envoyer son recueil des lettres de SaintCyran à Mme de Grignan, II, 357 et 358. Il est fort bien reçu par le Roi, II, 367, 36g et 370. Il se montre sensible à l’amitié de Mme de Sévigné, II, 373. Il est content du Traité de ta soumission à la m– lonté de Dieu, de Nicole, II, Mme de Sévigné. XII