Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/231

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ". *%b

gaieté sur Mme et Mlle de la Charce, IV, 124 et 125. Beauté de sa lettre sur la mort de Turenne, IV, Si, 74. Lettre salée et piquante qu’elle a écrite au Coadjuteur, IV, 204, 244. Elle estiLpïaindre de n’avoir pas à lire les lettres qu’elle écrit; sa mère lui conseille de se donner le plaisir de les relire, IV, i5i, 2o5; V, i3i VII, 3i9. Son récit j des affaires de ftlessine a fort diverti sa mère, qui dît que son pinceau vaut celui de Mignard IV, 216 et 2i7, 375 et 376. Elle achève des raisonnements et des réflexions d’un pinceau que sa mère admire VII, 12. Sa mère n’est pas, lui dit-elle, le meilleur peintre de l’hôtel Carnavalet, VII, 347. Le portrait qu’elle a fait d’un savantasse est du Titien, VIII, 432. Celui qu’elle a fait d’un petit Rochebonne est de l’AIbane, IX, 124. II y a des endroits de ses lettres qui ressemblent à des éclairs, IV, 218. Ses lettres comparées à sa danse, IV, j, 2Ï4. Le bon abbé est transporté de ses lettres, IV, 334. Chanson plaisante qu’elle a faite et envoyée à sa mère, IV, 3g2 et 3a3. Mme de Sévigné lit des passages de ses lettres à certaines per- sonnes, qui en sont charmées, IV, 460. Le cardinal de Bouillon désire voir ses lettres, IV, 70. Elle a écrit une lettre admirable à Corbinelli; celui-ci est étonné de la force de son intelligence, IV, 5o6. Elle est plus gaie dans ses lettres qu’elle ne l’est ailleurs, IV, 289 et 290. Son talent pour la narration plaisante,

V, 206 et 207. Avec tout Co son sérieux, elle est la plus C plaisante du monde ce qu’elle mande sur Amonio est l’étoffe de dix épigrammes, V, io3 VII, 459. Grand nombre de lettres qu’elle a à écrire, V, 2r3 et 214; VIII, 365. Tout ce qu’elle a dit de son frère est admirable les traits qu’elle donne sont des originaux sans copie, Y, *5j. Ses lettres plaisent à sa mère plus qu’une lecture de Lucien, V, 278 $ et 27g. Éloge d’un mémoire qu’elle a envoyé à Paris, VI, ij3. Sa mère admire les réflexions qu’elle a faites sur la disgrâce de Pompone, VI, r35, r38 et i3g. Elle dit, à la création des menins, que la sagesse du duo de Montausier a été partagée en six, VI, 3or. Elle a raconte des histoires tragiques, VI, > 3oS. Sa mère lui fait compliment d’un couplet auquel elle n’a pas nui, VI, 378. Jolis vers qu’elle avait faits pourla tête du bon abbé, VI, 555; VII, 28. L’abbé de Bruc veut copier des vers qu’elle a faits, VII, .Ç4. –Trait qu’elle dirige contre les carmélites de la rue du Bouloi, VI, 419, Réflexion qu’elle fait sur Mme de Mouci et sur Lavardin VI, 505 et 5o6. Application qu’elle a faite d’une scène du Médecin malgré lui à la querelle des évêques et du pape, VU, 5. Elle a parlé fort plaisamment de Brancas et de sa liaison avec Mme de Coulanges, VII, 84, 89.’ Le Roi verra quelques-unes de ses lettres dans les Mémoires de Bussy, qui pense qu’elles ne lui

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Comtesse de

Grignan.

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