Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/241

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a35

gations que son frère lui a, < VIII, 384. Tendre intérêt que lui portent son frère et sa femme, IX, 47. -Il a admiré sa lettre à Mlle Descartes; il la plaisante sur son écriture illisible, IX, 76 et 77. Ilne voit jamais des lettres de sa sœur que les endroits que leur mère lui montre, IX, 96, 337, 4a3. Sa mère la prie de solliciter le duc de Chaulnes pour la députation de son frère, IX, 144 et 148; elle a écrit au duc à ce sujet, IX, i85. Une phrase d’une de ses lettres divertit beaucoup son frère, IX, i?5. Il lui demande comment le duc de Chaulnes a pu l’aborder à Grignan, après l’avoir abandonné, lui, dans l’affaire de la députation, IX, 218. Elle a parlé de cette affaire au duc, IX, 224- Son frère compte l’aller voir à Grignan, IX, 21g et 220, 35o. II la remercie de son amitié, et la complimente sur le nouveau grade de colonel que va avoir son fils, IX, 3ao et 3_2i. Il est ravi de la manière dont elle a raconté les folies de Pauline pendant le carnaval, LX, 452 et 453. La vivacité de Pauline lui rappelle, dit-il, sa vivacité à elle; son amitié lui est très-précieuse, IX, 468 et 469. Le lieutenant civil le Camus, après la mort de Mme de Sévigné, lui annonce qu’il a entre les mains une cassette contenant des papiers propres àmettre fin à toute contestation d’intérêts entreson frère et elle il lui demande de signer une ratification et soumission, déjà signée, de très-bonne grâce, par son frère, X, 3g8 et 899,

d’elle dans ses lettres à leur mère, VI, 14, 22, 3o, 36. II la préfère à toutes ses maîtresses, VI, 142. II s’attend à ce qu’elle improuve la vente de sa charge, VI, 268. Reproches qu’elle lui a adressés, Vï, 276. Elle parle tendrement et sagement de lui; elle lui a écrit divinement, VI, 296, 3o8. Il désire la voir venir à Paris, VI, 385 il est ravi de penser qu’elle arrivera bientôt, VII, 100. Elle a, ainsi que sa mère, mauvaise opinion des sentiments de M. de la Trousse envers son frère, VII, 36, 38. On voudrait bien qu’elle cherchât un moyen de débar- rasser son frère’de sa charge, VII, 79. Sa mère la rassure sur une maladie de son frère, VII, 102. Elle a été blessée de certains procédés du futur beau-père de Charles de Sévigné celui-ci la blâme de sa susceptibilité, et, entrant en explication sur leurs affaires d’intérêts, prouve qu’elle n’a pas été la plus maltraitée, Vn, a54"257. II la prie de lui pardonner le bonheur qu’il a d’avoir leur mère auprès de lui il a toujours aimé sa sœur, quoiqu’elle soit sa rivale, VII, a85 et 286. -Il accepte de bonne grâce les arrangements que prend leur mère pour leurs affaires d’intérêts, VII, 332 et 333, 335, 338. Elle a lieu d’être contente de lui, et doit le lui témoigner, VIII, 218 et 219 (voyez encore X, 3gg, 4o3, 409). Affection qu’il témoigne pour elle et pour son mari, VIE, 870. Mme de Sévigné la prie de remercier le duc de Chanlnes pour les obli-

Comtesse de

Grignan.