Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/248

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

i^ TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

Pauline.

prudence, IV, 365 et 366. Elle est bien, etson petit garçon aussi, IV, 369, 373, 375, 38a, 384, 38g, 40S, 408, 480; V, 44, 182. A quelle condition cet enfant pourra vivre, IV 3go, 391, 392 son crâne n’est pas encore bien formé, V, j et 2. Il est fort malade, ̃V, 194, 197; il meurt, V, 198. Mme de Grignan veut persuader à sa mère que cette mort l’a peu touchée, V, 199 et 200; il faut, dit-elle, faire l’honneur au christianisme de ne pas pleurer le bonheur de ces petits anges, V, ao3. Mme de Sévigné doute de sa fermeté, et l’engage à ne pas trop penser cet enfant, V, ao5 et 2o6; elle cherche encore à la consoler, V, 217. Mme de Sévigné lui dit que Pauline pourrait bien un jour être aussi belle que sa mère « Dieu vous préserve, ajoute-t-elle, d’un cœur fait comme le mien !» V, 198. Elle lui conseille d’aimer beaucoup Pauline, V, 222 et 228, 226, 228, 239; VI, 37 et 38. Si elle veut, pendant une absence, la mettre au couvent, que ce ne soit pas chez les sœurs de la Visitation, V, 239. Mme de Sévigné lui demande si elle ne lui donnerait pas bien Pauline à élever, VI, 42. Elle craint, mandet-elle à sa mère, de s’attacher à Pauline, VI, 44. Mme de Sévigné la loue d’avoir emmené tous ses enfants avec elle; Pauline ne l’incommodera jamais, VI, 84 elle lui dit de se divertir d’elle et de ne point s’en séparer; l’esprit de cette enfant est une dot, VI, 197, 466 et 467; elle revient

sur les motifs qu’elle a de garder cette enfant auprès d’elle, et de ne point s’ôter cette consolation, VIII, 226 et 227. Elle en fera une petite merveille il faut lui faire lire ies.ff.ssais de morale de Nicole, VIII, 282. Mmes de la Fayette et de Lavardin la prient d’aimer Pauline, et de ne point refuser un bon parti s’il se présente, VIII, a55. -Pauline est heureuse d’avoir à l’aimer, VIII, 278. Mme de Sévigné lui conseille de la mener doucement, de ne pas l’humilier, Vin, 3o9, 3i7 et 3i8, 491- Elle fait fort bien de lui donner un habit et une cornette, et bien aussi de ne pas trop dépenser pour elle, car il faut avant tout songer au jeune marquis elle mérite de rester auprès de sa mère, et de n’être pas envoyée au grenier, VIII, 356. Qu’elle ne songe pas à la mettre au couvent qu’elle s’applique à son éducation, quand elle en aura le temps, VIH, 427. Elle ne l’apprécie pas bien, et exige trop d’elle, VIII, 481 et 482. Pauline aurait-elle avec sa mère des rapports en ce que celle-ci a de moins parfait? a VIII, 5i6. -Ce sera un grand soulagement pour sa mère de la prendre pour secrétaire, et Pauline se faconnera en écrivant ce que pense sa mère, IX, 28, 3i et 32, 48, 63. Mme de Sévigné se sent portée pour Pauline, et dans plusieurs petits procès qu’elle a avec sa mère elle lui serait favorable, IX, 37. Mme de Sévigné lui conseille de faire lire Corneille à Pauline, IX, 4r. Elle doit bien ménager