DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ". 259
l’Angleterre éclate, YJH, 475. Conseils sur la manière dont il lui conviendrait de vivre avec l’archevêque d’Aix, VIII, 252, 288, 345; ne point se soucier des propos de province, et s’expliquer avec l’archevêque lui-même sur tout sujet de mécontentement, VIII, 3g5, 412, 421. Elle est contente de cet archevêque, VIII, 406. On craint pour elle l’habileté de ce dernier, mais sa mère répond qu’elle ne se laissera pas surprendre, VIII, 43i. L’archevêque d’Aix vante son mérite; c’est elle qui sert de lien entre lui et tous les Grignans, IX, 61. Il a eu tort de ne pas venir la voir; si sa conduite lui déplaît, qu’elle en écrive à Mme de la Fayette dont il redoute le jugement, IX, 228. Conseil de vivre en bonne intelligence avec lui, IX, 3g3. Conseil de ne point se laisser brouiller avec l’Intendant, VIII, 3g5. Son mari craignait autrefois qu’elle ne fut toujours cachée et cha- grine en Provence, qu’elle ne daignât pas regarder les femmes de ce pays; la manière dont elle y vit et y tient sa place est, au contraire, toute noble et pleine de bon esprit elle a dégagé la parole de sa mère, VIII, 486 et 487 IX, 95. Elle se conduit en toute per- fection et est adorée; son mari lui en doit savoir beaucoup de gré, VIII, 565. -Elle est obligée d’assister aux sermons et de communier pour la représentation, VIII, 5i4et5i5; IX, 88 et 89. Elle assiste sou- vent, en carême, à de longs et médiocres sermons, IX, 462.
Elle est honorée et révérée en Provence, IX, 32. II ne serait point naturel qu’elle ne prît pas plaisir à la beauté et à la grandeur de sa place et de sa vie en Provence, IX, 80. Le Roi a facilement accordé ce qu’elle demandait pour Avignon, VIII, 291. Elle va faire une visite a Avignon, IX, 70 et 71; sa mère l’approuve d’avoir eu cette complaisance pour son mari; elle y aura été reçue avec toute sorte d’honneurs, IX, 78,80 Honneurs qu’elle reçoit à Avignon, IX, 80, 84; manière respectueuse dont elle y est saluée à la procession, IX, 87 elle en a emporté tous les cœurs, LX, g5; harangues auxquelles elle répondait, IX, 109. Elle se soucie peu de ses beaux orangers d’Avignon, et les soigne mal, IX, 118.– Sa mère l’appelle la reine de la Méditerranée, IX, 160. Splendeurs du château dont elle fait si bien les honneurs, X, i54 et 155. Elle y est exposée à un nombre infini de voisins, aux hommages de tous les Provençaux, X, 202. Elle reçoit magnifiquement, en Provence, les ducs de Bourgogne et de Berri, X, 459, 465,469 et 470. Elle va recevoir le roi d’Espagne, X, 470. Elle dément le bruit qui avait couru que le roi d’Espagne lui eut donné son portrait; les grâces qu’il a faites à elle et à son mari sont d’une autre nature et d’un plus grandprix, X, 475 et 476. VOYAGES ET séjours Elle voit dans l’église de la Visitation de Moulins le tombeau de
Comtesse de
Gùgnan
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