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DES LETTRES DE MADAME DE SE VIGNE. 271

236, a5i, a5g, 267 et 268, 3oa, 33i, 36g, 370, 372, 3gi, 4a3, 453, 459, S02, 5l2, 562; IX, 9, 29, 36, 47, 58, 74, 84, 96, 107, 145, i.5ï, 1S4, 20S, 320, 3ai, 323, 350, 35i, 363, 374, 394, 404, 407, 428, 436, 450, 45a, 474, 5ai, 544, 568, J72, 6o3 X, 27, 326, 409, 417, 418, 5o5, S71; XI, xi, ixxirr, 263. Sa naissance; il est nommé par les procureurs du pays de Provence, II, 421, 4.22 et 423. Recommandations que Mme de Sévigné fait à sa fille à son sujet, II, 432 et 433. Il a la petite vérole, H, 441, 443. Sa ressemblance avec son oncle le coadjuteur d’Arles, II, 537. j Il est guéri de la petite vérole, III, 7. La Reine est fâchée que ce soit lui, et non sa sœur, qui ressemble à sa mère, III, i5. Ses cheveux deviennent bruns, III, 27. Il est moins joli, mais il de- vient plus aimable; son goût pour le vin, III, 56. On lui cherche une gouvernante, III, 74. Sa beauté, III, 83. Extrême tendresse de sa mère pour lui, III, 147. Incon- vénients qu’il y aurait à lui faire raser les cheveux, III, 4o,4- Il est malade; on 4e saigne, III, 497- Sa mère lui fait prendre médecine; il est guéri, III, 502. Mme de Sévigné croit qu’il l’a oubliée, III, 5o6. Sa mère n’est plus aussi entêtée de lui, IV, 212. Sa timidité, IV, 399, 433 et 434, 47°. 478; V, 197 et 198, 21 3. On est inquiet pour sa taille, IV, 434,448; V, S, i3, 4o. Il est joli, aimable, et sa taille promet de devenir belle; sa mère prend plaisir à s’oc- »

cuper de son éducation, IV, 478; V, 5.-La mort de son petit frère ne lui cause pas de chagrin, V, 200. Mme de Sévigné voudrait qu’on lui donnât un précepteur, V, 204, 206, 217, 222, 23g; Conseils qu’elle donne pour son éducation et pour son régime, V, 2r2 et 2r3, 217. Elle désirerait que la Mousse vînt à Grignan et s’occupât un peu de lui, V, 234, 23g. Mme de Sévigné approuve que sa mère l’emmène à Paris, parce qu’il se gâte avec les valets de Grignan; joie que sa venue causera à l’abbé de Coulanges, V, 333 et 334. Ambition de sa mère pour lui, V, 439 et 44°- Mme de Sévigné désire qu’il continue à jouer au mail, VI, 42 VII, 56. TI a eu la rougeole, et en a gardé une toux qui ne cédera qu’au lait d’ânesse, VI, xoo, 1x2, 129. Il danse fort joliment dans un bal, VI, 197. Mme de Sévigné augure très-bien de lui pour l’avenir, VI, 287, 3o3. Charles de Sévigné lui ordonne de le contrefaire, VI, 385. Sa grand’mère le trouve trop sage et trop posé, VI, 448 et 449. La mort du cardinal de Retz a été pour lui une grande perte, VII, 3g. Sa mere ne l’amènera-t-efie pas à Paris? VII, 88. Il est enrhumé; inquiétudes exagérées de sa mère; VII, i55. Il est à Livry (1682), VII, 195, 407, 468. C’est un petit mérite naissant qui ne se dément pas, VII, 261. Mme de Sévigné lui écrit, VII, 3oo, 3io. Elle l’appelle le senor Marques, VII, 356. Désappointement que