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274 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

valier, IX, 3n et 3ia. Il l’obtient en effet; joie qu’en éprouve Mme de Sévigné, qui déplore seulement les dépenses qui en résulteront, IX, 317. La présence de sa mère à la cour lui serait utile, IX, 327 et 328. Dépenses auxquelles son père est obligé pour lui, pendant qu’il est à l’armée, XI, xvni. Bon témoignage que Saint-Pouanges rend de lui, IX, 33a. Plusieurs personnes croient que ses oncles les prélats fournissent à sa dépense le Chevalier veut donner a ses parents de quoi lui payer à lui-même son régiment, qu’il leur a vendu pour son neveu, IX, 33y et 338, 339. Sage direction que ses parents ont su donner à sa vie, IX, 341 et 342, 356 et 357, 372. Sa joie d’être colonel à dix-huit ans; sa grand’mère voudrait le voir marié, IX, 345 et 346, 412.– Il est à Kaiserslautern, IX, 348 et 349, 357, 385, 4o3, 412. Mme de Sévigné déplore son goût pour le jeu, IX, 352. -Il a été le premier ami de la jeune comtesse de la Fayette, IX, 354. On obtient la permission de vendre sa compagnie, IX, 356, 357, 38o. N’aura-t-il pas un bon quartier d’hiver? IX, 367 et 368, 38o. Comment se tire-t-il de ses devoirs à la cour et à Paris? IX, 38o et 38i, 386. Il demande à sa mère la permission de venir la voir, IX, 385 et 386, 4", 420. Son caractère ne ressemble nullement à celui de Pauline, IX, 412. Sa compagnie est difficile: à vendre, IX, 420, 440. 454. L’appui desononclele Chevalier lui se-

IX, 5. Inquiétudes de sa t mère, IX, 11, i5 et 16, ai, 26. Comparaison des frayeurs enfantines du jeune marquis avec sa bravoure actuelle, IX, 4o et 41. Mme de Baguols, qui l’a laissé enfant, sera bien étonnée de le retrouver homme de guerre; il ne rencontre partout que des amis, IX, 67. Boufflers le protège et l’aime, IX, 67, 96, 176, 2i5. Ce serait une belle chose si on pouvait lui garder la charge de son père en Provence, IX, 81. La mauvaise santé de son on- cle le Chevalier est un malheur pour lui, LX, 99 et 100, 366, 386. Sa jeune tante de Sévigné le prie de l’appeler sa cousine, IX, io3, 2i5, 363. Le chevalier de Grignan l’appelait sot en plaisantant; il doit être accompli, s’il a pris un peu de hardiesse, IX, no et 1 II. Mme de Sévigné désirerait qu’il allât voir sa mère pendant l’hiver, IX, 116, 120 et lai, 28o, 283, 2g4, 3o4, 3i7, 827 et 828, 34i, 349; et qu’on profitât de son séjour en Provence 1 pour le marier; mais elle ne veut pas qu’on songe pour lui à Mlle d’Oraison, IX, 121. Elle voudrait qu’il épousitt la veuve de Nogaret, si celui-ci veuait à mourir, IX, 148. Sa confiance dans les jugements que son oncle le Cbevatier porte des courtisans, IX, 173. Il était sans doute à l’assaut de Ivocheim, mais il se porte bien, IX, 194. Courage téméraire qu’il a déployé à cet assaut, IX, 198 et 199. Sa bravoure, Li, .209, 21S. On espère qu’il aura le ré- giment de son oncle le Che- j J