Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/295

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 289

M»Œ DE SÉVIGNÉ. XII 19

u~ 1 Il. ,1, .u. u. .4.Ja. 1"

une donation à son père, VII, 524. Mme de Sévigné de- mande pour lui au président de Moulceau des renseignements sur les eaux de Baiaruo, VIII, 12 et i3. -Elle désire qu’il prête un cheval à du Piessis pour aller voir une réparation à Livry, VIII, io3. Il est mieux, et en état d’aller à Livry, VIII, 114. Il a avec le duc de Montausier une longue conversation sur les affaires ducomte de Grignan, VIII, i47-ï49- Il partage les regrets que le départ de Ilme de Grignan cause à Mme de Sévigné il vit dans une grande intimité avec celle-ci il a eu une goutte terrible dans les deux mains, VIII, 196, 198. Il y a des gens d’esprit qui viennent le distraire; son atta- ehement pour Mme de Sévigné, VIII, 108-200. Mme de Grignan devrait suivre ses conseils, VIII, 2o3. Il mange avec Mme de Sévigné; leur communauté de sentiments sur bien des choses, VIII) 204 et aoS. Il donne a Mme de Grignan des nouvelles de son fils, VIII, 207, 2 ro. Il va se promener avec Mme de Sévigné à Vincennes, VIII, 208, 212, 329. Une peut aller à Fontainebleau, où il a mille affaires; la faiblesse de ses jambes l’en empêche, VIII, 207, 210. Mme de Sévigné va souvent le voir dans sa petite chambre, VIII, an et 212. Il est content de la manière dont son neveu se conduit à la guerre; il le traite en camarade, VIII, 2i5. Il est persuadé que le siège de Philisbourg finira bientôt, et que Vauban veillera plus que

w,r_ n_

jamais à conserver les hommes la belle conduite du Dauphin l’enchante; il n’est pas encore solide sur ses jambes VIII, 217-219. Plaisir qu’il éprouve à recevoir des nouvelles de Mme de Grignan; sa sollicitude pour son neveu, VIII, 22r et 222, 224. Mme de Sévigné est flattée de ne lui pas déplaire, VIII, 227. Il n’ira probablement pas à Fontainebleau, VIII, 228 et 229. Il souffre un peu de la goutte, il renonce au café, VIII, 23t, 234, 239, 246. Il serait à souhaiter. qu’il pût aller à la cour, où il rendrait des services à sa famille, VIII, 23g, 246, 253. Il est bien mieux, mais ne se réjouit pas trop, le temps qui lui est favorable l’étant aussi à l’expédition du prince d’Orange, VIII, 248 et 249. H n’aimait Livry que par politesse; il pourra bientôt aller à Versailles, VIII, 253. Mme de Sévigné dit qu’elle lui portait malheur et qu’ilse trouve beaucoup mieux depuis qu’elle n’est plus auprès de lui; il dine chez l’abbé Testu, VIII, 256. Il part pour Versailles en apprenant que le marquis de Grignan a reçu une contusion à Manheim, VIII, 263 et 264. Compliments qu’il reçoit à propos de cette contusion, VIII, 265 et 266, 275. Il est fort utile à sa famille quand il est à Versailles; nouvelles qu’il en rapporte, VIII, 275 et 276. Il fait des visites avec Mme de Sévigné, VIII, 276. Il soupe chez Lamoi–gnon, VIII, 278. Allusion a ce souper, VIII, 294. Il retourne à Versailles, pour