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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/307

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DES LETTRES DE MADAME DE SEVIGNE. 3oi

la marée seule l’a empêchée de bombarder la ville, X, 375. Ce que dit de lui L’évéque de Lucon, X, 5?4- Voyez MAkie II.

GcittAUME VII, landgrave de Hesse-CasseI. Voyez HesseCassei. (Guillaume VII, landgrave de).

Gumemot (le rot), n, 147.

Guh-leraghes (Pierre Girardin de), d’abord premier président de la cour des aides de Bordeaux, puis secrétaire du cabinet du Roi, et ambassadeur, celui à qui Boileau a adressé une épître, II, 460. -Ses plaisanteries sur le siège d’Orange, III, 285, 288. II dîne chez Gourville, III, 3i5 et 3i6. Plaisanterie de lui sur Pellisson, III, 353. Réponse plaisante que lui fait le prince de Conti, III, 3g3. n doit, lui et toute sa famille, aller à l’Opéra avec Mme de Sévigné, ÏII, 4o3. Il fait l’éloge de Turenne dans sa Gazette; jugement de Mme de Sévigné sur cet éloge, IV, t~. Sa réponse au couplet de CouIauges sur le lit vert de Suey le Roi la trouve plaisante et la chante, V, 217 et ai8.

Gitilijet DE Saist Georges (Georges). Son Histoire des grands vizirs (voyez IX, 324* note 14); Mme de Sévigné la trouve agréable, IV, 448 et 44g. Elle la recommande à sa fille,IV, 477; conseils qu’elle lui donne a cette occasion l’ouvrage devrait être dédié à la duchesse plutôt qu’au duc de Bouillon, V, 5 et 6. Mme de Grignan en a achevé la lecture; Mme de Sévijpé trouve qu’il n’est pas bien écrit, mais que les événements

d’Aiguebonne de l’Europe, IX, r. Son crédit diminue tous les jours; l’Irlande et l’Écosse sont contre lui plaisanterie écrite sur les murs de Whitehall, IX, 6, 9. Il est l’Attila de son temps, IX, i5. II obtient six cent mille livres sterling pour rembourser les Hollandais; forces qu’il envoie en Flandre; le jour est pris pour son couronnement, IX, ao. Précautions prises contre lui en Bretagne, IX, 68. II n’est plus aussi redouté, IX, gi. Sa mort paraît nécessaire à Mme de Sévigné, IX, 5o5. On dément le bruit de sa mort, XX, 56 1. Mme de Sévigné dit qu’il n’a pas dépendu d’elle que sa blessure ne fût mortelle, IX, 568. Tous les parieurs pour sa vie ont perdu, IX, 577. -Ses mesures sont déjouées par la promptitude de Louis XIV à attaquer Mons, X, i3 et 14, 21 et 22. Mme de Sévigné l’appelle le faux roi d’Angleterre, X, 22. Son armée est dispersée après sa défaite à Nerwinde, X, 119. Sa femme meurt il ne l’a pas quittée pendant sa maladie, et on assure qu’il est atteint par la contagion, X, 229 et 23o. Quelques traits de son portrait ont été, dit-on, retranchés dans l’oraison funèbre du maréchal de Luxembourg par le P. de la Rue, X, a65. On prétend qu’il est prisonnier, X, 307. Prétexte qu’il prend pour retenir le maréchal de Boufflers prisonnier, après la réduction de Namur, X, 3o8. C’était par habileté qu’il feignait souvent l’ignorance sa flotte est tout près de Calais;