Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/326

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

3ao TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE

III, 33, 37, 38, M, 47-5o, 68. Bussy juge sévèrement sa conduite, III, 4?-5o. Il est à Ypres,’ IV, 4<>9- Il a passé le canal de Bruges et a fait partout un grand dégât, IV, 4i5. Son chapeau est percé d’un coup de mousquet au siégé de Condé, IV, 420. Il obtient que son frère sorte de la Bastille, IV, 428. Il se dispose à aller prendre Aire, IV, 534. Le duc de Villeroi est envoyé dans son armée arec de la cavalerie, IV, S54. Il ne sort pas de Lille, V, 284. S’il n’attribue pas la prise de Saint-Gbislîn au Roi et à l’ignorance du général ennemi, il s’en fait accroire, V, 392. Il va revenir, VI, 25, Ce qu’il dit au sujet des choix faits pour la maison de la Dauphine, VI, 182. Sa querelle avec le comte de Grignan, qui ne veut pas l’appeler Monseigneur, VII, i53. Il traite Bussy comme s’il était aussi maréchal de France, VIT, 1 87 II obtient la charge de grand maître de l’artillerie, en revenant d’une ambassade auprès du roi d’Angleterre, VII, 464 et 4^5, 467- Mauvais offices qu’il a jadis rendus à Bussy; reproches que le duc de SaintAignan lui a adressés à ce sujet, VIII, 67 et 68. Il est a Philippeville, où il assemble les troupes en corps d’armée, IX, ïg et 20. fïogaret est blessé dans son armée, IX, 148. Il est blâmé d’avoir voulu prendre le château de Valcourt, IX, ig3 et 194 il y a perdu beaucoup de monde, IX, 199. Mme de Sévigné conseille au comte de

Grignan de le complimenter sur sa duché, IX, 5oo. Il est fort malade, X, i8r. t- II meurt à Versailles; l’évêque de Troyes lui a donné les derniers sacrements; le public distribue déjà tous ses emplois; sa maison est ruinée sa femme n’aura pas de pain, X, ï88 et 189. Il était le plus aimable et le plus aimé de tous les courtisans; dernières paroles qu’il a dites au curé de Versailles il ne s’était jamais occupé de ses affaires, ni de son salut, X, 193. Le roi donne à Mme de Soubise l’appartement qu’il occupait à Versailles, X, 240. C’est Lauzun qui a cet appartement, X, 282 Humièhes (Louise AntoinetteThérèse de la Châtre, duchesse d’), femme du précédent, II, 1 14,19*5 VIII, 68; IX, 194.–Bussy lui écrit à propos de la disgrâce de son mari, III, 5o. Les obligations de sa charge de dame du palais l’ennuieront bien, III, 358. Tristesse que lui cause la disgrâce de Bûssy, III, 429, 436, 440. Comment le Roi lui apprend que son mari est duc, IX, 497. Mme deSévigné conseille au comte de Grignan de la complimenter sur la duché de son mari, IX, 5oo. Mort de son mari elle est complétement ruinée; elle va, dit-on, se retirer chez les filles de la Croix, X, 188 et 189. -Elle demeure dans une vilaine maison, où il n’y a place que dans la cour pour mettre son dais il eût été plus courageux à elle de se retirer dans un couvent, X, 2i5 et 216. -Des affaires d’intérêt la brouillent avec sa fille, X, 228. Elle se retire aux