346 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
gnan sagesse et raison dont elle fait preuve, X, i45. Elle accouche d’un garçon, X, 323.
Lavardin (Mlle de), sœur de la précédente, religieuse, II, 224 et note 4.
Lavaedïn (Emmanuel-Henri de Beaumanoir, plus tard marquis de), fils de Henri-Charles et de sa seconde femme. Personne ne doute qu’il n’épouse Mie de Noailles, X, 468.
Lavardin (Marie Françoise de Noailles, marquise de), cousine et femme du précédent. Personne ne doute que son cousin ne l’épouse, X, 468-
Lavardiks (les), II, 322.
Lavardin (de Beaumanoir de). Voyez Beabmanoir DE LavarDn (de).
Lavooat (Mme), belle-mère de Pompone. Elle est fort malade, mais il y a bien longtemps qu’elle est au monde, X, 5g. Lavooat (Mlles). Voyez Pompone (la marquise de), et Vins (la marquise de).
Leczïsski. Voyez Stanislas. Leduc, nom d’homme, V, 17. LENET (Pierre), procureur général au parlement de Dijon, puis conseiller d’Ëtat, IV, 422 et 423; V, 4i4,. 4i9- Lettre en vers qu’il écrit, avec Bussy, à 51. et à Mme de Sévigné," I, 348-3So. Lettres que lui écrit Mme de Sévigné, I, 365-367. Sa mort attriste Mme de Sévigné, II, 3o5. Nature de son esprit, IX, 69, i83-; X, 53. Combien Mme de Sévigné a ri avec lui autrefois, IX, 69; X, 33. Il a dissipé tous ses grands biens, et son fils n’en a rien eu, X, 33. Ce que Bussy dit de lui, X, 53. Voyez Larrei.
Lenobmasjt, nom d’homme, XI, 25o.
Léon (l’évêque de). Voyez MonTIGNY (l’abbé de).
Léon (Louis-Bretagne de Rohan Chabot, prince de), fils de Louis duc de Rohan et de Marie-Elisabeth du Bec. Sa naissance, VI, 24 et 25,.65. Détails sur son baptême, VI, 260 et 261. Voyez Rohan. Léopold Ior, empereur d’Allemagne de 1657 à 1705, II, 334; III, 460; IV, 410, 414 V, 65, 494; VIII, 53i; IX, 49. On assure qu’il a fait célébrer un service funèbre pour Turenne, IV, 117. Il est menacé par les Turcs en Hongrie, IV, i5i. Il est, dit-on, très-dangereusement malade, VI, 16. Le maréchal de Schomberg va en Allemagne avec vingt-cinq mille hommes pour lui faire signer plus promptement une trêve, VII, 273. Le comte et la comtesse de Rabutin sont l’ornement de sa cour, VIII, 191. Le Roi ne rompt avec lui par le siège de Philisbourg que pour avoir l’honneur de l’agression, VIII, ig3. La prise de Philisbourg nous permet d’attendre en repos ses résolutions, VIII, 243. La fortune de Louis de Rabutin en Allemagne a excité l’envie de toute sa cour, VIII, S45. Le roi de Pologne va, dit-on, lui déclarer la guerre, IX, i5, 18. Conditions de son traite avec les Suisses, IX, 20. Allusion à sa grande bouche, IX, 266 et note 3a.
Lépqte. Voyez Épine (!’).
Lercaro (François-Marie-Impériale), doge de Gênes. Il viendra à Paris; on n’aura pas la
