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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 371

le Tellier pour chancelier de France, V, 38i. Il promet au duc de Rohan dîépouser Mlle de Vardes, V, 452, 45g. Un changement dans son cœur pourra seul ramener à la cour le marquis de Vardes, qui fera bien de vendre sa charge à qui il plaira au Roi, V, 460. Il ne pourra aller à Versailles (r678), parce qu’il y règne une mortalité effrayante parmi les ouvriers et que les appartements ne sont pas prêts, V, 49a. La duchesse de Meckeibourg a sans doute quelque commission de lui pour l’Allemagne, V, 496. Il paraît fiché de la passion effrénée des joueurs, V, 807, Bussy craint que le public ne l’excuse pas de tolérer la bassette, V, 5 ri.. II achète la charge du marquis de Vardes, V, 5 10, «14. De quoi dépendront les grâces générales qu’on attend de lui, V, 528. II donne au prince de Marsillacla charge de grand veneur, V, 55o. La Feuillade fait venir un bloc de marbre blanc, pour y tailler sa statue équestre, qui coûtera plus de trente mille écus, V, 551. Il saura bien récompenser la Feuillade de sa sta.tue, V, 556. Son interven- tion au sujet de la séparation du due et de la duchesse de Ventadour, VI, 53. On ne parle plus de son voyage dans les provinces; il ne veut pas faire de chevaliers de l’ordre du Saint-Ecprit, à cause du grand nombre des prétendants, VI, 78 et 79. Grâces et faveurs dont il comble le comte de la Roche-Guyon, VI, 86. Il disgracie Pompone, VI, i,

87, 140. Le retard que ce ministre a mis à lui rendre compte d’un certain courrier de Bavière a sans doute contribué à sa disgrâce, VI, 90, 119, 189. II y avait près de deux ans que la faveur de

Pompone était ébranlée, VI,

119. Langlade doit lui être présenté, VI, 99. Il lui fait bon visage, mais ne lui parle pas, VI, 117. II a été je premier dans la confidence du mariage du prince de Guémené avec Mlle de Vauvineux il’signe au contrat, VI, lao et r2i, 128. -r~ Mystification de Saint-Géran en sa présence; il ne lui accorde pas la charge de premier écuyer de la Dauphine, VI, i5a. Pompone n’a pas encore pu le voir, VI, i55. H faut maintenant être plus grand seigneur qu’autrefois pour obtenir des emplois dans sa maison, VI, 182 a et r83. Ses immenses libéralités les services qu’on lui rend loin de lui sont perdus, VI, r87- II n’a jamais eu dessein de donner les entrées et les honneurs à la princesse de Soubise, VI, ao3. Ceux qui lui font le plus la cour n’obtieilnent pas toujours ce qu’ils demandent, VI, 208 et 209. II laisse à la comtesse de Soissons le temps de quitter la France, VI, 21 3. Il conseille au maréchal de Luxembourg, compromis dans l’affaire des poisons, de se rendre volontairement â’ia Bastille, VI, ar8. Celui-ci, en s’y rendant, lui a prouvé son obéissance aveugle, VI, 228. Ce que la comtesse de Soissons a dit de lui à la Voisin, VI, 23o et a3x. Obéissance que lui témoigne

e Louis XIV.

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