Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/379

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 373

[ Louis XIV.

du Roi, VII, 377 et 378. Il n’accepte pas une thèse ridiculement flatteuse que lui adressent les Minimes de Provence, VII, 402. Il demande des nouvelles de la santé des Grignans, VII, 41S. Allusion à des lettres saisies où il était fort mal traité, VII, 445 et 446. Une petite maladresse de Mme de Grignan n’empêchera pas celle-ci d’obtenir de lui une grâce pour son fils, VII, 454. Comment et pourquoi il nomme le maréchal d’Humières grand maître de l’artillerie, VII, 465 et 466, 467. II envoie Bourdaloue achever les conversions commencées par les dragons il révoque l’édit de Nantes louanges que lui donne Mme de Sévigné à cette occasion (dans une lettre dont quelques passages semblent être ironiques), VII, 469 et 470. -Bussy admire sa conduite pour ruiner les huguenots, VII, 474. Il donne la place de président du conseil des finances au duc de Beauvilliers, VII, 480 et 481, 482. -Il donne à l’évêque de Tréguier le siège de Poitiers, qne lui a remis l’abbé de Quincé, VII, 489 et 490. II n’a pas encore pardonné à la vicomtesse de Polignac, VII, 491- Les vers de Benserade l’ont diverti, VII, 5o4, 5o8. On ne lui adresse plus que des louanges triviales et usées Horace et Virgile savaient louer Auguste sans répéter toujours les mêmes choses, VII, 5og et 5rp, Si a. S’il n’y tenaitla main, il n’y aurait plus de maris jaloux à Versailles, VII, SiS. Douleur publique à l’occasion de sa maladie; joie

sion, VII, 183 et 184. Il reçoit fort bien la nouvelle comtesse de Soissons, et donne une pension de vingt mille francs au comte de Soissons à l’occasion de son mariage, VII, 198 et igg. II retire l’appartement et la place de dame du palais à la marquise d’Albret, lorsqu’elleépouselecomte de Marsan, VII, 201. Charles de Sévigné voudrait être agréé de lui pour l’une des deux sous-lieutenances des chevau-légers, VII, 208 et 209 il n’est pas sûr qu’il la lui accorde, VII, 21;. Le plus grand bonheur qu’on puisse avoir, dit Mme de Sévigné, c’est de vivre pendant quelques heures auprès de lui, d’être dans ses plaisirs et lui dans les nôtres, VII, 217 et 218. II donne une pension de deux mille livres à Mlle de Scudéry; il l’embrasse quand elle vient le remercier, VII, 223. Manière dont il rappelle le marquis de Vardes à la cour première audience qu’il lui donne, VII, 237. -Trouble de Mme de Grignan en lui parlant; conclusion que Mme de Sévigné tire de sa réponse, VII, 3ig et 3ao. II aura pitié de la marquise de Bade, VII, 322. Plaisir que lui fera l’arrivée de l’Eure à. Versailles par l’aqueduc de Main tenon, VII, 33o. -Son témoignage a suffi pour réhabiliter les capucins du Louvre dans l’opinion publique, VII, 376. II ne veut plus qu’on vende les charges d’aumônier Mme de Sévigné demande qu’on fasse souvenir le grand aumônier de la petite part qui lui est remise, à elle, tous les ans, sur les aumônes