DES LETTRES DE MADAME DE SEVIGNÉ. SiS
M!me de Sévignc.
elle compare les vieilles passions, VI, 58 et 5g. Les souhaits de bonne année lui -i paraissent une bonne coutume, VI, 191. Sa réponse à une question de Corbinellîsur le bonheur, VI 4g6. Elle conseille d’écrire, pour se soulager, ce qu’on a sur le cœur, VII, iGg et 170. Crainte que lui donne une joie sans nuage, VII, 104. Ce qu’elle dit de la force de l’éducation, VII, 242 de l’utilité d’unerègle, VII, 410 de l’amitié, VII, 3t6; X, a35; de la santé, VIII, i56; de la patience, VIII, 17.?; de la vanité, IX, Son. Elle a horreur de l’avarice, VII I, 7 IX, i3r; X, 235. Son opinion sur les procès, VIII, 56. Elle se plaint de la rapidité du temps, X, 3i, Ç2, 268, 280. Son admiration et sa re- connaissance pour la poste et les postillons, II, 277 IV, 181 VI, 436. Ses réflexions sur l’éclat que la fortune ajoute au mérite, V, n5. Ce qu’elle pense des titres de comte et de marquis, IV, 287 et 288; des gens de petite noblesse qui portent un grand nom, VII, 170 et 171; des grands noms portés par de petits sujets, X, 279. Elle blâme la prétention des maréchaux au titre de Monseigneur, VII, l53, 160 et x6i. Ce qu’elle dit des avantages de la fréquentation de la cour, VII, 129; des changements qu’on voit à la cour, VII, 159. -Elle pense qu’il faut chercher, à la cour, à. s’éloigner directement de soi-même, VII, 414. Elle n’est ni d’âge ni d’humeur à
vivre à la cour, VI, 33a, 35 1 Ml et 35a, 43a. Son horreur pour ]es sujets infidèles,à leur roi, VII, 432. Elle compare le service du Roi à celui de Dieu, VIII, 5r3 et 5 14. Ce qu’elle dit du Roi; son admiration pour lui, II, 476, 48o; III, 127; V, 422; VI, 553; VII, 55, i83et 184, a36; VIII, 8 et 9, 36, 54, 93, io5, 108, i56, i85, 3î3, 3a4, 563; IX, 149, 544 et 545, 569, 579 et 58o; X, r3, H, 21. Son esprit juste et carré, composé, étudié, II, 20a. Bussy lui trouve une provision d’esprit qu’elle n’userait pas en un siècle, III, i5g. Elle a le goût au-dessous de son esprit, III, 229 et a3o. Sa fille fait grâce à son cœur eu faveur de son esprit, VI, 55o. Elle dépense son esprit en pièces de quatre sous, VII, 14, i5, 74. Corbînelli dit qu’elle n’a point d’esprit quand elle dicte. IV, 390. Elle n’entreprendra point de bout-rimés les rimes lui font peur; il ya a des choses où son esprit ne prend pas, IX, 54o et 54i- Son goût pour le bon style et l’éloquence, II, 277, Son opinion sur les beaux esprits, II, 463 et 464. Son suffrage est une autorité pour tout ce qu’il y a d’esprits délicats, X, 55g et 56o. Pour ses lectures, ses jugements sur les écrivains, les ouvrages, voyez les articles de la Table consacrés aux noms qui suivent Abbadie, Anselme, Arioste, Arnauldd’And’dlf, Augustin (saint), Balzac, Benserade, Boileau, Bossu (le), Bossuet Bouhours Bourdaloue, Burnet} Bussy, Calprenède la),