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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/525

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DES LETTRES DE MADAME DE SÊVIGNÉ. 5ig

> Mme de Sévigné.

S,

VIII, 106, 108, iï3, 114.– Les eaux de Vichy ne lui sont plus nécessaires,. VIII, 116. Ce qu’elle dit des eaux de Vals, IX, 1 16 et 117. (Pour les voyages à Vichy et à Bourbon, voyez ci-après, p. 5a4.et 525.) -Elle a eu une colique néphrétique et bilieuse; comment on l’a soignée, V, 385 et 386. -Elle prend d’une eau que Mme de Lavardin lui a conseillée, et dont elle se trouve bien, VI, 35, 46,’ 55 et 56, rog, 116, 266. Elle prend de l’eau de lin, VI, 35, 46, 366, 3i8, 35g. Ce qu’elle dit de la poudre de sympathie elle emploie cette poudre, VII, 47, 342-344, 348, 349, 350, 353, 355, 356, 357, 37i. Elle prend de l’eau de cerises, VII, 86. Elle parle du remède anglais (le quinquina) et des merveilles qu’il a produites, V, 559 et 56o, 56a et 563; VI, 27* et a8, 71, 94; VII, 90 et 91, 94, 97, toi, io3 et 104, 128 et 129, 417 VIII, 102, io5; IX, 255, 5go. Son opinion sur le baume tranquille, VII 3o4, 3o5; IX, 3o, 494. Elle trouve les chirurgiens de Paris bien habiles, VII, 224. Elle est enrhumée, VII, 228. Elle se fait saigner, VII, 228 et 22Q. Sa jambe malade, VII, 343, 346, 348, 349, 35o, 355, 36o, 364 et 365, 371, 372, 378 et 379, 38i, 38a, 386, 396 et 397, 4o6, 4x3 et 414, 418, 422, 4»5, 434 et 435, 436 et 437, 439, 447, 452 et 453, 455, 461. Une médecine qu’elle a prise n’a fait que l’émouvoir, VII, 358. Elle a eu des vapeurs et a pris huit

gouttes d’essence d’urine, VII, jjn 3g6 (voyez aussi VII, 4r2). Elle se moque des chirurgiens, "VII, 397. Traitement que lui fait suivre la princesse de Tarente, VII, 425-427. Son désir d’être guérieafin departir pour voir sa fille, VII, 431. Elle a un peu de colique néphrétique et bilieuse, VII, 488. Un rhumatisme et les vapeurs du carême l’ont empêchée d’écrire à Bussy, VII, 498 et 496. -Son rhumatisme, VII, 498, 499. Elle a des coliques, VII, 499. Elle plaisante sur le bon effet qu’elle aurait éprouvé d’une saignée faite à sa nièce de Montataire, VII, 5o6. Elle prétend avoir senti un affaiblissement après une saignée faite à Bussy, I, 5n; VII, 507. Ce qu’elledit de son heureux tempérament, VII, 507, 5ro. Ce qu’elle pense du sel végétal, VIII 102. Elle a eu un rhumatisme à la main droite, VIII, 126. Elle craint que des incommodités ne lui fassent expier la bonne santé dont elle jouit, IX, 63, 66 et 67, 73. -Elle voit en vieillissant sa santé s’améliorer, IX, 63, 365; X, 261. Elle a toujours été sujette à suer, IX, 174. La sobriété du carême lui est salutaire, IX, 470, 476, 483. Elle a eu une entorse à Lambesc, IX, 604. Son opinion sur la rhubarbe, X, 370. Coulanges la blâme de faire usage de certains mets, qu’il regarde comme mauvais pour elle, X, 376. Ses opinions diverses sur le chocolat, II, 164 et i65, 214 et 2r5, 362 et 363, 3g8, 399, 400, 435, 441, 468; VIII,