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DES LETTRES DE MADAME DE SÉTIGNÉ, 535

Mine de Sévigué.

Elle regarde la lune en son- Mme geant que sa fille la regarde aussi, VU, 4og. Elle tient à l’amour de sa fille, VII, 4ia; elle estime infiniment son estime, VII, 440 elle compte sur son amitié, XI, x. Sa fille est heureuse de l’avoir chez elle (1690), IX, 6o5; X, 17; réception qu’elle lui a faite à Grignan, IX, G08. EUe sacrifie son intérêt à celui de sa fille, X, iso, 184. Elle aime le portrait de sa fille, IV, n5, 427.- Elle est heureuse que son portrait soit aimé de sa fille, VII 3i8.Son admiration pour la beauté de sa fille, II, 87, 485, 54o; VII, 36g, 45o; IX, ao5. Elle admire la danse ide sa fille, VII, 14,92 et 93 et celle de Mademoiselle de Blois, qu’elle y compare, III, 365. Ce qu’elle dit de la paresse de sa fille, II, 90, 126, i45, 479,497; In> i4o,34i; elle s’appuie de l’autorité a Escobar pour lui prêcher la paresse, VI, S42. Elle parle de l’irrésolution de sa fille, III, 367 et 368; de sa jalousie, VI, 298 et 299, 299 et 300, 4aIj 4g5 elle luiapprend la jalousie par théorie, VII, i3. Éloge qu’elle fait de ses qualités, VI, 443 et 444, 456, 5oi elle admire son esprit et son mérite, VII 5, 122 et is3; VIII, 43o IX, 102 So3 et 5o4 son cœur, VII, 404 VIII, 423, 446; son courage, IX, 102; sa patience, X, 3a4> Jamais, dit-elle, le mot commun ne sera fait pour sa fille, VII, 428. Son admiration pour le style et pour les lettres de sa fille, II, S7 et 58, 60, 6g, 112, 124» ï3i et i32, i3g,

Sa fille ne saurait trop la compter comme un des choux de son jardin, V, 16. Sa fille lui a fait un reproche d’indifférence, V, 141. Injustice des reproches qu’on lui adresse sur sa trop grande sollicitude pour sa fille; elle ne veut pas du remède de la séparation, V, 178, i"7> x94t 2o5, 212, 220, 269, 270, 273, 283. Elle consent à la rapidité du temps qu’elle passe loin de sa fille, V, 181, 269, et 270; VI, 10, 5g, 33g. Sa fille voudrait voir son mari sans être obligée de la quitter, mais elle quittera toujours tout pour lui,-V, 444; VI> 22. Ce qu’elle dit de l’attachement de sa fille pour son mari, VI, 395 et 3o,6. Elle se plaint de l’injustice de sa fille- à son égard, V, 5i4 et 5i5, 5i6, 620 et 5ai. La philosophie ne saurait changer sa tendresse pour sa fille, VI, 57. Elle fera un traité sur l’amitié, où sa fille ̃ trouvera des leçons, VI, 73. Elle exhorte sa fille à lui faire toujours part de ce qui la tourmente, VI, 114 et n5. Ce qu’elle répond au désir de sa fille de la voir vivre plus longtemps qu’elle, VI, 181, 228, 3io. Elle est heureuse de penser qu’elle mourra avant sa fille, VII, 337; IX, 407, 4" et 412, 419. Sa fille pensait mourir avant elle, X, 388. -Une lettre où sa fille lui apprend qu’elle viendra à Paris (1680) la fait pleurer de joie, VII, 66 et 67. Raisons qui l’obligent à quitter sa fille à Paris pour aller en Bretagne (1684), VII, 3m et 3 12.