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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/557

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 55 1

4o3, 417. H voudrait r être colonel du régiment de Champagne, III, S24 et SsS. Il ne peut obtenir le régiment qu’il demande, IV, ao, • 27. Motifs qui empêchent sa mère de demander une autre charge pour lui, IV, .5g, 77. Sa mère demande à Louvois un régiment pour lui, IV, 87, 27 1 Comment il est devenu guidon, IV, 184. Ses illusions sur son avancement, IV, aaS et 226. Sa mère s’in- quiète au sujet de la vente de sa charge, IV, 254 et aS S ce qu’elle et son fils comptent faire à cette occasion, IV, 2S8. Tentatives diverses pour vendre la charge de gui- don, IV, 3o6, 327, 368, 370, 385, 392. Il va devenir enseigne onze mille francs, IV, 38i. Il achète de la Fare la sous-lietitenance des gendarmes-Dauphin, V, 164, 247 et 248. Il ne songe pas à faire sa cour, VI, 188. –-Il fatitqu’il vienne à Paris faire sa cour, VI, a 16. Sa charge est la plus jolie de la cour, VI, 262. Son désir de vendre sa sous-lîeutenance et d’être libre, VI, 262 et a63, a68, 290, 297 et 2q8, 3o8, 324, 326, 327, 333 et 334, 343, 35a, 5oa, 5o3, 55g et 56o; VII, 79, i3o.. La beauté de la cour, où il est si bien placé, le fera peut-être j changer d’avis, VI, 276. Il est peu raisonnable en ce f qui touche sa carrière, VI, 303 et 304. Il fait bien de rester à la cour, VI, 4rg, 43a, II sera peut-être déli- vré de sa charge et du mauvais vouloir de la Trousse, VII, 35 et 36, II espère vendre

sa charge au neveu de Brancas, VII, 79, 85. Sa è mère s’occupe de cette vente, VII, gr. Il a vendu sa charge, VII, 208. Il demande la charge de sous-lieu- tenant des chevau-légers, VII, 208 et 209 sa mère ne désire pas qu’il l’obtienne, VII, 211, ai5 elle est bien aise qu’il ne l’ait pas obtenue, VII, 218. Il brillera aux états de Bretagne (1679), VI, 7- Son titre de nouveau venu en Bretagne le rend considérable, VI, i5, 22, 29 et 3o. Il triomphe aux états; il y fait très-bien, VI, 30, 36, 4i» 54- ̃ II ira aux états avec Coulanges (i685), VII, 434, 446, 452; il y va, VII, 455, 458 il en est revenu, VII, 460. Sa répugnance à commander un des régiments de la milice de Bretagne (1689), VIII, 384 et 385; il est élu malgré lui pour commander la noblesse de sa province, VIII, 480, 533; IX, 68; dépenses que lui occasionne le commandement de l’arrièreban, IX, 1 et 2, ij, 65 et 66, n3, 128; il est enragé de son retour à la profession des armes, LX, 85 il n’a aucune indemnité pour nourrir et instruire la noblesse, IX, 109; regrets de sa mère de lui voir ce commandement, IX, 118, 123, i3i et i32, x35; il reçoit des éloges sur la bonne tenue de son régiment, IX, i3i; il ne songe qu’à se tirer de la place de colonel, IX, 349 et 35o. Conduite que sa mère a tenue pour lui ménager la députation de la noblesse des états de Bretagne (1689), X, i36 et 137, i38. Appui qu’il trouve à cette occasion

Charles

de Sévigné.