DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 555
2T2, 278 et 279, 282 et a83, { 3oa, 305 et 3o6, 3n, 445. Ses séjours à Rennes, VII, 35g et 36o, 365; IX, 45, i58, 267, 406, 423. Elle y est presque toujours retenue par r sa mère, VIII, 5oa IX, 245. Elle y va passer quelques jours avec Mme de Sévigné, IX, i24- Elle prend plaisir à entendre parler de sa belle- sœur, VII, 346; IX, 2S6 et 287. Elle fait demander à Mme de Grignan des rensei- gnements de toilette, VII, 355. Elle l’aime, l’honore, la révère, VII, 355, 409. Elle rit à pâmer d’une lettre de Mme de Grignan, VII, 4i5. -Sa sollicitude pour les oran- gers de sa belle-sœur, IX, 118. Lettre qu’elle lui adresse; < elle la remercie de l’hospita- lité qu’elle lui offre, IX, 282 et 283. Elle sera charmée de lire les amitiés que sa belle- sœur lui envoie, IX, 354. Elle aime les lettres de Mme de Grignan, IX, 332 et 333; elle est ravie de ce qu’elles contiennent d’affectueux pour elle, LX, 335. Son mari est i, heureux qu’elle plaise à Mme de Grignan, IX, 35o. Elle veut que le marquis de Grignan l’appelle sa cousine, IX, io3 il lui écrit et lui donne ce nom, IX, ai5, 345. Bussy pouvait la mieux traiter dans son Histoire généalogique, VII, 428 il se propose de réparer cela, VII, 442; VIH, 3g. Elle aime beaucoup son mari, qui a pour elle une tendresse infinie, VII, 5a5; IX, 443. ( Elle prête de l’argent à sa belle- mère; le tour de son esprit la porte à badiner, IX, 4 et 5.- Plaisanteries sur sa prétendue 1
passion pour le comte de Grignan, IX, 5, 47, io3, 104, 146, 283, 394, 445. Elle reçoit sa belle-mère, qui arrive à Rennes, et elle désire aller avec elle aux Rochers, IX, 46, 47. Elle a bien du soin de sa belle-mère, sans contrainte, IX., 96. Comment elle passe le temps avec elle IX, g8, 101, io3. Mme de Sévigné et elle aiment toutes deux à jouir, chacune de leur côté, de quelques heures de liberté, LX, 96, io3, 120. Elles ne s’ennuient pas ensemble; elles se plaisent dans la compagnie l’une de l’autre, IX, 164 et i65, 181, 189, 202, 252; 282. Quoique ravie d’être à Rennes, elle. quitte cette ville pour revenir auprès de sa bellemère, qui est fort touchée de cette marque d’amitié, ÏX, 267, 278 et 279, 3o5 et 3o6, 3 il. Elle cherche à divertir sa belle-mère, IX, 3o2. L’approbation de Mme de Grignan augmente la joie qu’elle a d’être auprès de sa belle-mère pourquoi l’absence de son mari ne lui a pas été pénible, IX, 3i3. Son mari lui envie le plaisir de tenir compagnie à Mme de Sévigné, IX, 35o. Sa mère a l’intention de l’emmener à Bourbon, IX, 35o. Sa voiture a versé, et deux de ses belles juments se sont échappées, IX,’ 36 1; elles sont retrouvées, LX, 36i et 36s. Elle ne quittera plus jamais Mme de Sévigné, IX, 363. Elle met dans ses cheveux noirs une souris qui lui va fort bien, IX, 372 et 373. Une coiffure qui lui allait mal lui a attiré un mauvais compli-
