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57o TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Son voyage à Bourbon, IV, 44i, 447, 457- Madame fait à cause d’elle mille honnêtetés à Mme de Sévigné, IV, 849. -Sa conversation amuse le Roi pendant une promenade, VI, 379. Elle est de retour en Bretagne, VII, 5oi. Réception qu’on lui fait à Rennes, VII, 9-11, i3. Sa parenté avec là Dauphine, VI, 421. Quand elle n’est pas en deuil, c’est que l’Europe se porte bien, VII, 299. Ses bonnes relations avec Mme de Sévigné, IV, t5i, i55 et 1S6, 1S9, 182 et i83, 202, 23o, 271 et 272, 323 et 3a4, 347, 36o, 370, 493; VI, Su et 5ia, 5i9, 532 et 533, 543 et 544, 552, 556 et 557; VII, a, 62, 112, 327, 345, 35o, 362, 365, 37t, 407, 425 et 426, 461. Elle lui donne un petit chien, IV, 200, 229 et a3o. Ses fréquentes visites aux Rochers, IV, 182, 207, 370; VI, 519, 557; VII, 62, 90, 362, 365, etc. Son goût pour Mme de Grignan ses relations avec elle, IV, )55, 182, 3a3 et 324, 36o, 379 et 38o, 382, 388; V, i85; VI, 379; VII, 29 et 3o, 377, 406 et 407. Mésintelligence entre elle et Charles de Sévigné, VII, 3i4 et 3i5, 338, 362. -Ses remèdes, ses connaissances en médecine, IV, i5q, 192 et ig3 VI, 546; VII, 365, 377, 406 et 407, 425 et 426.

TARENTE (Charles-Belgique-Holl’ande de la Trémouille, duc de Thouars, prince de) et de Talmont, fils des précédents. Voyez Teémodille ( le duc de la).

Tarknte (Madeleine de Créquy,

i55. Son style romanesque dans ce qu’elle conte, IV, i83. Plaisir qu’elle prend à raconter ses aventures, IV, 230. Elle a le cœur comme de cire; Mme de Sévigné tâche de la corriger de sa ridicule sensibilité, IV, 272. Son écriture de cérémonie est une broderie qui ne se fait pas en courant, VI, 533, 546. Ses jeûnes, ses retraites, VII, 29. Elle est en dévotion, VII, 296. Ses collations et fricassées, VI, 5ig, 53a et 533, 046. Comment elle fait son thé elle en prend douze tasses tous les jours, VII, 298. Elle ne se porte jamais mieux qu’en voyageant, VII, 88. Motifs qui la déterminent à consentir au mariage de sa fille avec le comte d’Altenbourg, VI, 375. Elle s’accommode assez bien de l’absence de sa fille et a un bon commerce avec elle, VI, 556. Mme de Sévigné et l’exemple de Mme de Grignan l’adoucissent pour sa fille, VII, 29 et 3o, 62 elle forme le projet de l’aller voir, VII, 62. Voyez Aitenboukg (la comtesse d’). Elle est tante de Madame, II, 824- Madame lui écrit de longues lettres en allemand, et l’attacherait sans doute à sa personne si elle était catholique, IVi 197. Monsieur l’appelle sa chère tante, IV, 270. Monsieur et Madame lui envoient l’exemption entière des gens de guerre, IV, 334- Elle vient à Paris, mandée par Madame, IV, 4oo. Elle s’y trouve tout étourdie et dissipée, IV, 4°9- Madame l’aime assez et baragouine de l’allemand avec elle, IV, 441»