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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 59t

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de Pavillon) courtisan, et vivant hors de son diocèse, Vil, 6. II ne sera pas nommé évêque de Marseille, VII, 70. Valbelles (les), XI, go.

Valcouht (le château de), à dix lieues de Namur. Le maréchal d’Humières a eu tort de vouloir le prendre, IX, ig3 et J94 i il y a perdu beaucoup de monde, IX, rgg.

ViLCROrSSANT, VIII, 284 », Il s’est loué à Mlle de Scudéry des honnêtetés de Mme de Grignan pour lui, II, ig7. Il a vu Mme de Grignan à Marseille, et loue sa beauté, III, 75.

Vajlcroissaht, frère du précédent, II, 3 (?).

Val-de-GrAce (!e), à Paris. La Dauplnne y dîne, VI, 38i.

Valehoay, entre Blois et Châteauroux, IV, i33.

Valekçay (Charlotte d’Estampes de), sœur du beau-père de la suivante. Voyez PtrisiEtjx (la vicomtesse de).

Vaieîtoay (Marie-Louise de Montmorency Boutte ville, marquise de), sœur de Luxembourg et de Mme de Meckelboure, VI, 290; X, 542.

Valenoay ’y ( Henri Dominique d’Estampes, marquis de), fils de la précédente. Sa mort réjouit tout le monde, VI, ago et 291.

Valemçay ( Angélique Isabelle d’Estampes), sœur du précédent. Elle a réformé l’abbaye des Clérets, X, 88 et 8g.Voyez l’article suivant.

^aijlnçax (Mlles de), la précédente et l’une de ses sœurs

à vendre sa compagnie, LX, 454, 455.

Valan, médecin. Mme de la Fayette le regrette, VII, 430. Vai.avoire DE Vaiilx (FrançoisAuguste marquis de). Il dîne chez Mme de Sévigné, II, 5o4. Mme de Sévigné dîne chez lui, II, 5ti, 5ig. Elle le rencontre en allant Vichy, V, 3o3 et 304.

Vaiavoire DE VAULX (Marie Amat, marquise de), femme du précédent, II, 458 V, 3og. Eloge qu’elle fait de Mme de Grignan, II, 342. Mme de Sévigné ne peut la trouver chez elle, II, 467. Elle dîne chez Mme de Sévigné, II; 5o4> Mme de Sévigné dîne chez elle, II, 517. Mme de Sévigné la rencontre en allant à Vichy; elle donne des nouvelles de Mme de Gri- gnan, V, 3o3 et 304, 3og, 325.

Vabbelub (le chevalier de), II, 532.

Valbelle (l’abbé Louis-Alphonse de), frère du précédent (?), aumônier du Roi, puis successivement évoque d’Aletli et de Saint-Omer, H, 53a; III, 38o; VII, 14, 36. Sa conduite, dans des démêlés du Roi avec le pape, d’abord comme agent général du clergé, IV, 4i5 puis comme évêque d’Aleth, V, 298 et note r8 VI, 535. Il est désigné par le nom de freluquet, VI, 535; VII, 14, 70. Privilège qu’il demande pour l’archevêque de Paris; on s’étonne de voir un évêque d’Aleth (un successeur l

I. Au tome H, p. 2,et 19, on a, d’après le conseil de Walckenaer, imprimé f-’alcroissant dans deux endroits où Perrin avait laissé le nom en blanc. Vojes les notes de ces passages et les Additions et Corrections.