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PAR] DE MADAME DE SÉVIGNÉ". i77

MIE DE Sivxani. xiv 1 i o-i Ia

3° Substantivement

Le public et le particulier leur demandent raison de cette injustice. (IX, 564.) J

PARTIE.

i° Portion

Le bon abbé. est obligé de revenir promptement pour plusieurs affaires, dont les miennes font une partie. (IV, 4ag.) a» Somme due

(Glaner) est une petite consolation que la Providence donne aux pauvres, dont nous sommes l’exemple quand nous allons ramasser de petites parties égarées. (B. VIII, 53.)

3° Articles d’un compte

C’est que vous aviez compté sans votre hôte, qui fait toujours ses parties bien hautes, sans qu’on en puisse rien rabattre. (V, 2S4.) 4° En termes de jeu, coup DE partie (au figuré), coup habile, coup décisif

Je trouve cette assemblée de noblesse un coup de partie. (nafi IV, 3i8.) f w »

C’est un coup de partie, et voilà les occasions oùd’Ilacquevillen’a point son pareil. (IV, 200.)

Le bon abbé remercie M. du Plessis de P honneur qu’il a fait son canal (en s’y laissant tomber). Cela lui parott un coup de partie pour cette pièce d’eau, comme une exécution rigoureuse dans les justices qui ne sont pas bien établies. (Autogr. VII, 307.)

Si vous rendez votre terre, songez bien comme vous en emploierez l’argent ce sont des coups de partie. (Autogr. II, 250.)

5° Pabtie, projet

Vous savez avec quelle facilité le Roi vous a accordé ce que vous demandiez pour Avignon ainsi, ma chère enfant, il faut remettre à uneautrefoisla/>art;cquevousaviezfaitedevouspendre.(VIII 291 ) Sa femme (de Ch. de Séeigné) est autour de moi, entendant trèsbien la partie que je fais avec elle de ne la voir d’aujourd’hui. (VII 294.) ’l

PARTIR.

De telles vengeances rudes et basses ne sauroientpartir d’un cœur comme celui de notre maître. (A. et Tr. I, 479.)

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