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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/516

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508 LEXIQUE DE LA LANGUE [VUE

Je crois que vous devez faire jeter cette vite à M. de Marsillac, afin de s’en servir dans l’occasion. (Gr. VII, io3.)

N’est-ce pas Dieu qui a tourné son cœur (de Mme de la Sablière) ?. n’est-ce pas Dieu qui lui donne la vue et le desir d’être à lui? (VI 476.)

Pour ma cousine (Mlle de la Trousse), nous ne voyons rien à sa destinée; nous croyons nous donner à des vites que nous n’avons pas présentement. Nous entrevoyons un couvent. (Gr. III, 6.) Je. ne vous ai rien dit de notre abbé. Le Roi ne permet plus aucune" résignation mais Monsieur d’Uzès ne laissera pas de lui en parler, afin que s’il arrivoit malheur, il fût marqué, et souvent le Roi suit cette première vite. (Gr. II, 53o.)

9° DANS LA VUE (de)

Ma santé est parfaite je la gouverne dans la vite de vous plaire. (1726, IV, i3o.)

Vous me persuadez si bien que ma santé est une de vos principales affaires, que dans cette vue je la conserve. (V, 54.)

Y

Y.

1 À lui, à elle, lui, leur, etc.

Rien ne peut me distraire de penser à vous j’y rapporte toutes choses. (Gr. VI, 3 18.)

Tous ceux qui la voient [Mme de Grignan) et qui y prennent quelque intérêt. (V, 447.)

Le mal de Mme de Chaulnes n’est pas à négliger; ces eaux y sont lionnes. (Autogr. VIII, 10t.)

Mes pauvres lettres n’ont de prix que celui que vousy donnez en les lisant comme vous faites. (X, 45.)

Nous avons vu le château de Seignelay en passant nous y avons donné notre bénédiction, et nous sommes persuadés qu’il prospérera (V,38».)

J’étois vive et gaie en écrivant ma lettre. S’y attendois une réponse encore plus enjouée. (B. I, 549.)

Voyez l’Introduction grammaticale, à l’article Relatif.

2° Chez lui, chez elle, là

Je vois Mme de Villars, je m’y plais, parce qu’elle entre dans mes sentiments. (Gr. II. 66.)