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Page:Sévigné - Lettres choisies, Didot, 1846.djvu/659

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aviez pour celle que nous pleurons : et je vous avoue que j’en ai l’esprit si rempli, que ce m’est un soulagement de trouver un homme aussi propre que vous à les écouter, et à les aimer. J’espère, monsieur, que le souvenir d’une amie qui vous estimait infiniment contribuera à me conserver dans l’amitié dont vous m’honorez depuis longtemps ; je l’estime et la souhaite trop pour ne pas la mériter un peu. J’ai l’honneur, etc.

FIN.