Aller au contenu

Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/168

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

e I52» A INTRODUCTION. de Grwnan avec sa remière femme An ·el1 e-Clamce 1: P * g qu u d'Angennes, —— étzut jugée très-avantageuse à sa fa-· mille, et était loin, il faut bien le dire, d’être vue avec déplaisir par ceux à qui elle devait proüter : elle était presque nécessaire pour empêcher l`eH`ond1*ement des affaires du Comte, qui n’aurait pu sans de grandes difli- cultés s°acquitter envers sa fille des sommes qui lui étaient dues du chef de sa mère. Mme de Grignan, qui = I n`av9.it pus, sembléraibil, Peu contribué à faire naitre la vocation dont on se réjouissait, en avait donné la nouvelle à sa mère , et Mme de Sévigné, d’après le Grosbois‘, — que les éditeurs ici encore n’0nt pu que suivre fidèlement, - lui aurait répondu sur ce point : ' ce En vérité, si tout cela s’achève, comme je le crois et comme je le souhaite, c’est un grand bonheur pour vous aussi. Il me semble que vous y avez même contribué par votre bon exemple, votre douceur, votre conduite avec cette sainte iîlle. Vous lai avez donné de la zend'1·0sse_p0ur de plus grands des- seins et de plus hautes vues; que ses proches profitent de ce qu’elIe laisse et de ce qu’elle méprise. Ne trouvez-vous point que c’est un vrai miracle que ces sortes de vocations si soli- des et si bien méditées P >> Mme de Sévigné avait éOI'll122 <« .... Vous lui avez donné de la tendresse pour sa maison, · pour son nom; elle est bien aise, avant de plus grands desseins et de lus hautes vues, ue ses roches roiîtent de ce 'elle _ P Cl _ P P qu laisse et de ce ’elle mé rise, etc. >> V qu P Ualtération, — résulte de Pomission d’une ligne 1. Groshois, p. :70. ' 2. Msc., tome V, p. 293.