DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 27I COUl€ll1g€S VOUS adore. ilyîlllllè G1‘lgDBD (l€ ÈOIIÉ DIOR cœur, et Adhémar amoureusement’°. Je suis toujours très-Ricliée que la petite Deville vous ait quittée" ;vous ne m’en dites plus rien. 'Votre fille"' est jolie. L`al.>bé Têtu 'me prie de vous faire dix; mille compliments. Je ne sois point de nouvelles. Vous sa- vez il y 21 longtennps, mu bonne, que je suis toute à vous. Ma tante ’° me paroît très-malade; cela me fàclie et m’occupe. M. tl`Ax1dilly ’·" vous envoie deux livres : Du- bois " s'est fait fort dcivous les faire tenir. commerce avec elle. Tai reçu une de ses lettres; mais je me garde bien de m’en vanter, cle peur des questions iniinies que cela at- tire. » Cette lettre montre sans doute que la retraite était alors complète; mais la résolution avait été prise une année auparavant, 4 et il semble, d’ap1·ès la lettre de Mme de Sévigné, que larétllisatîon dut suivre de près, et qu’elle eut lieu plus tôt qu’on ne l’avait cru _jusqu’ici. 20. Voyez plus haut la note 4 de la lettre z, et la lettre g, note 7. zt. M. et Mme Deville avaient en effet quitté Grignan; voyez. le second alinéa de la lettre 23: (II, 447), et ci-dessus, la note 8 de la lettre g. ~I2. Marie-Blanche. _ 23. Henriette de Coulzmges, marquise de la Trousse; sa maladie . retenait Mme de Sévigné à Paris et Pobligeuit à différer son ivoyage en Provence : Mme de la Trousse mourut le 30 juin suivant; voyez. le I°" alinéa de la lettre 292 (HI, X30). u 24. Arnaulcl d’Andilly, père de M. de Pompone. Voyez. les no- tes 6 et 7 de la lettre 54 (I, 437). ' 25. Commis de la poste; voyez plus linut la lettre 5, notes 7 et 8, et le commencement dc la lettre I2 ci-après. 'S-
